Meilleur commentaire positif
5,0 sur 5 étoilesOh que oui !!!! Et puis tant qu’à faire mettez m’en une demi-douzaine, comme cela je pourrai partager autour de moi
Commenté en France le 12 janvier 2018
Oh que oui !!!!
Je reprendrai volontiers un petit chou !
Et puis tant qu’à faire mettez m’en une demi-douzaine, comme cela je pourrai partager autour de moi
J’ai commencé le livre ce matin et terminé ce soir
Il faut dire que j’ai passé ma journée dans les transports ….
Pas forcément facile de laisser un commentaire sur livre qu’on a adoré
Un peu peur de ne pas être à la hauteur et de rendre insuffisamment hommage à l’œuvre et à l’auteur
Bon tant pis, je me lance
Un véritable régal ce petit chou, de bout en bout
Une succession de moments véritables de la vie.
Nostalgie pour certains, découverte pour d’autres de cette période trentenaire de la vie où, comme une phase de transition, alors que nous étions jusque-là un peu guidés par les événements sur l’inertie de notre éducation, on se retrouve confronté aux premiers choix véritables et aux réflexions sur nos priorités essentielles
On s‘amuse, on pleure, on rit .... le tout, servi par une plume légère, moderne et efficace
De très belles formules trouvées, tout aussi poétiques et imagées que pertinentes et efficaces
L’auteur se glisse avec subtilité, humilité et sincérité dans la peau de ses personnages
J’ai pris un véritable bain de jouvence (sans toboggan) et ri aux éclats en revivant ces moments, jamais oubliés, mais peut-être un peu fanés, des grands bonheurs et petites complications avec des enfants en bas âge
Merci pour avoir su immortalisé ces instants
Et l’on se laisse également prendre par la sincérité communicative des émotions
La tristesse par endroits, une tristesse capable d’arracher une larme aux plus robustes, mais pas une tristesse malheureuse
Une tristesse humble, pudique et sobre
Une tristesse sans pleurs
Une tristesse digne et apaisée, de celles dont on ressort plus fort
Et l’amour, débusqué dans les recoins de la vie où il se niche patiemment, où il reste dans l’ombre, où l’on passe mille fois devant sans peut être jamais le remarquer
Moi aussi je veux une barre à bisous !!!