Il ne s’agit pas d’un thriller érotique comme il est indiqué sur la quatrième de couverture mais bien d’une romance, une histoire à ne surtout pas comparer avec la trilogie de E.L. James : les deux personnages principaux de « Monsieur » ne ressemblent pas à ceux de la trilogie, l’histoire non plus. Il faut donc aborder ce roman comme une nouvelle histoire à part entière.
E.L. James met en scène un jeune aristocrate qui se prénomme Maxim et une jeune femme, Alessia. Pas facile quand on a été mannequin, DJ et photographe de devoir, au pied levé, remplacer son frère décédé, à des responsabilités importantes. Maxim ne se sent pas prêt à assumer une charge aussi lourde. L’autre personnage est une jeune femme qui vient d’Albanie et qui est engagée chez Maxim comme femme de ménage. Lui a 28 ans. Elle en a 23. Ce sont deux personnes totalement opposées pour tout. L’un est riche, a des relations, est extraverti, multiplie les aventures ; l’autre est réservée, discrète, a besoin de travailler, besoin d’argent. C’est la rencontre entre ces deux personnages que tout oppose qui est racontée ici, une rencontre sous le signe du charme, de l’envie, de la fougue, de l’apprentissage du sexe pour Alessia, de la métamorphose de chacun, des changements pour l’un et l’autre. Autour d’eux, gravitent de nombreux personnages que nous découvrons au fur et à mesure et qui étoffent le récit.
Malgré ses 474 pages, ce livre se lit très vite car la plume de l’auteur s’y prête. L’histoire n’est ni torride, ni complètement nunuche, c’est une histoire romancée, presque un « conte ». Elle a son lot de mystères, de dangers et de secrets. L’auteur sait rendre son lecteur attentif et attaché à ces personnages. Je n’ai pas vu le temps passer, et même si j’ai trouvé que le livre ne révolutionnait rien, j’ai passé un bon moment tout simplement. La question est de savoir s’il y aura ou non une suite. Tout est possible.
5,0 sur 5 étoiles
Une romance, presque un conte
Commenté en France 🇫🇷 le 30 mai 2019
Il ne s’agit pas d’un thriller érotique comme il est indiqué sur la quatrième de couverture mais bien d’une romance, une histoire à ne surtout pas comparer avec la trilogie de E.L. James : les deux personnages principaux de « Monsieur » ne ressemblent pas à ceux de la trilogie, l’histoire non plus. Il faut donc aborder ce roman comme une nouvelle histoire à part entière.
E.L. James met en scène un jeune aristocrate qui se prénomme Maxim et une jeune femme, Alessia. Pas facile quand on a été mannequin, DJ et photographe de devoir, au pied levé, remplacer son frère décédé, à des responsabilités importantes. Maxim ne se sent pas prêt à assumer une charge aussi lourde. L’autre personnage est une jeune femme qui vient d’Albanie et qui est engagée chez Maxim comme femme de ménage. Lui a 28 ans. Elle en a 23. Ce sont deux personnes totalement opposées pour tout. L’un est riche, a des relations, est extraverti, multiplie les aventures ; l’autre est réservée, discrète, a besoin de travailler, besoin d’argent. C’est la rencontre entre ces deux personnages que tout oppose qui est racontée ici, une rencontre sous le signe du charme, de l’envie, de la fougue, de l’apprentissage du sexe pour Alessia, de la métamorphose de chacun, des changements pour l’un et l’autre. Autour d’eux, gravitent de nombreux personnages que nous découvrons au fur et à mesure et qui étoffent le récit.
Malgré ses 474 pages, ce livre se lit très vite car la plume de l’auteur s’y prête. L’histoire n’est ni torride, ni complètement nunuche, c’est une histoire romancée, presque un « conte ». Elle a son lot de mystères, de dangers et de secrets. L’auteur sait rendre son lecteur attentif et attaché à ces personnages. Je n’ai pas vu le temps passer, et même si j’ai trouvé que le livre ne révolutionnait rien, j’ai passé un bon moment tout simplement. La question est de savoir s’il y aura ou non une suite. Tout est possible.