Autres vendeurs sur Amazon
+ 4,98 € Livraison
94 % positif au cours des 12 derniers mois
+ 6,99 € Livraison
96 % positif au cours des 12 derniers mois

Téléchargez l'application Kindle gratuite et commencez à lire des livres Kindle instantanément sur votre smartphone, tablette ou ordinateur - aucun appareil Kindle n'est requis. En savoir plus
Lisez instantanément sur votre navigateur avec Kindle Cloud Reader.
Utilisation de l'appareil photo de votre téléphone portable - scannez le code ci-dessous et téléchargez l'application Kindle.


En savoir plus
Suivre l'auteur
OK
La flamme et le papillon Broché – Livre grand format, 9 février 2022
- La livraison est GRATUITE sans minimum d'achats (0,01€ pour les livres). Les membres Amazon Prime bénéficient de livraisons gratuites illimitées toute l'année
- Choisissez parmi 20 000 points retrait en France et en Belgique, incluant points relais et consignes automatiques Amazon Lockers
- Trouvez votre point retrait et ajoutez-le à votre carnet d’adresses
- Sélectionnez cette adresse lors de votre commande
Améliorez vos achats
sans voir qu’elle leur brûle les ailes. »Alice, étudiante à Aix-en-Provence, arrondit ses fins de mois en travaillant dans un café. Elle y retrouve tous les jours Elvire, une charmante vieille dame un peu excentrique qui va bouleverser sa vie. Renversée par un scooter, Elvire meurt dans les bras de la jeune fille en lui léguant ses quelques biens. Dès lors, Alice n’a plus qu’une idée en tête : rendre justice à cette femme qu’elle aimait. Qui est vraiment Elvire et pourquoi l’a-t-elle choisie ? Était-ce un accident ? Quels secrets lui cache-t-on ?
- Nombre de pages de l'édition imprimée384 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurMarabooks
- Date de publication9 février 2022
- Dimensions14.7 x 3.2 x 21.3 cm
- ISBN-102501160711
- ISBN-13978-2501160711
Les clients ayant consulté cet article ont également regardé
Vous n'avez pas encore de Kindle ? Achetez-le ici ou téléchargez une application de lecture gratuite.
Détails sur le produit
- Éditeur : Marabooks (9 février 2022)
- Langue : Français
- Broché : 384 pages
- ISBN-10 : 2501160711
- ISBN-13 : 978-2501160711
- Poids de l'article : 500 g
- Dimensions : 14.7 x 3.2 x 21.3 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 146,824 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 6,489 en Littérature francophone
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

Née en 1982 à Aix-en-Provence, Aurélie Tramier est l'auteur de deux romans: "Peindre la pluie en couleurs" (Marabout, 2020, collection La belle étoile), et "Vous reprendrez bien un petit chou?" (Amazon KDP, 2017).
"Peindre la pluie en couleurs" : Morgane est une directrice de crèche solitaire et revêche qui ne supporte plus les enfants. A 35 ans, elle vit dans le rêve paisible de racheter une pension de luxe pour chiens. Tout vole en éclats lorsque sa sœur meurt dans un accident de voiture, lui laissant ses deux enfants en héritage. L’arrivée d’Eliott, 10 ans, et de Léa, 6 ans, bouscule son quotidien maniaque et fait ressurgir un passé douloureusement enfoui.
Les voix de Morgane et d’Eliott alternent dans ce roman pour nous tracer la reconstruction d’une femme blessée qui découvre la force de l’amour maternel.
VERBATIM: "300 pages de plaisir, vous allez un peu tout oublier et c'est du bonheur", Gérard Collard, le magazine de la Santé, 25/09/2020.
"Vous reprendrez bien un petit chou?" est un roman feel-good qui parle des mamans, de boulot et de petits choux. Cinq générations s’y croisent pour dessiner un portrait de la femme d’aujourd’hui, de l’arrière-grand-mère à la petite-fille, en passant par la mère débordée, la grand-mère féministe et l’étudiante onirique. On y retrouve les joies et les peines de la vie de famille, les rires et les bobos, les mains qu’on saisit, potelées ou fripées. Avec Julia, Maxime, Antoine ou Sophie, on rit, on aime, on vit. Et on pleure aussi, d’une tristesse apaisante dont on ressort plus fort. La plume, fluide et poétique, ne craint pas de s’attaquer à des thèmes difficiles de la maternité. C’est un livre arc-en-ciel qui chante sur fond de Provence, et où les voix des mamans, papas et enfants se croisent pour débusquer l’amour dans chaque recoin de vie où il peut se nicher.
Aurélie est également l'auteur d'une nouvelle, "Mes deux pyjamas Batman", disponible en version électronique.
Instagram: aurelietramier_auteur
Facebook: @aurelietramier.auteur
Photo © Astrid di Crollalanza
Commentaires client
Les avis clients, y compris le nombre d’étoiles du produit, aident les clients à en savoir plus sur le produit et à décider s'il leur convient.
Pour calculer le nombre global d’étoiles et la ventilation en pourcentage par étoile, nous n'utilisons pas une simple moyenne. Au lieu de cela, notre système prend en compte des éléments tels que la date récente d'un commentaire et si l'auteur de l'avis a acheté l'article sur Amazon. Les avis sont également analysés pour vérifier leur fiabilité.
En savoir plus sur le fonctionnement des avis clients sur Amazon
Meilleures évaluations de France
Un problème s'est produit lors du filtrage des commentaires. Veuillez réessayer ultérieurement.
J’avais lu et dévoré son premier roman qui avait su me toucher en plein cœur : Peindre la pluie en couleurs. Mais elle m’avait prévenu que le style était complètement différent avec son second roman et c’est vrai, mais la sensibilité de l’auteure est bel et bien toujours aussi forte.
Nous rencontrons Alice, une jeune étudiante qui travaille dans un café pour payer ses études. Elle y est très appréciée et s’est liée d’amitié avec plusieurs clients, dont Elvire, une vieille dame un peu bigote mais adorable. Un jour où Alice est de sortie avec son chéri, elle croit apercevoir Elvire dans une boîte de nuit… Cela lui semble pour le moins étrange, mais étant un peu alcoolisée elle se dit qu’elle a sûrement dû rêver… Elle se décide toutefois à lui poser la question plusieurs jours après lorsqu’elle la recroise au café mais avant qu’elle n’ait pu lui dire quoique ce soit, Elvire est renversée par un scooter et meurt dans les bras d’Alice en lui confiant « Pardonne-lui ma chérie, il ne sait pas… ce qu’il fait... Il est comme ça… Les autres non plus, Aurore… Il faut… tout pardonner… sinon… on ne vit pas…On… » A compter de ce jour, Alice voit sa vie lui échapper… Elle n’arrive pas à surmonter le chagrin que lui provoque cette disparition et, persuadée qu’il ne s’agit pas d’un accident, commence à enquêter… Mais cela devient obsédant, au point que ses études et son chéri sont relégués au second plan… Les derniers mots d’Elvire lui semblent incompréhensibles, qui est donc cette Aurore ? Alice arrivera-t-elle à s’en remettre ? A retrouver un semblant de normalité dans sa vie ? Pourquoi un lien aussi fort s’était si facilement et naturellement créé entre elles ? Au fil des jours le mystère s’épaissit jusqu’au dénouement, inattendu et émouvant.
J’ai tellement apprécié retrouver la plume si sensible et si juste de cette auteure, je suis décidément sous le charme ! On dit souvent qu’il y a un bon moment pour chaque chose et pour les livres c’est pareil… Certains livres nous touchent particulièrement à une période donnée de notre vie et lorsqu’on le relit plus tard, on est parfois déçus… Ici je ne sais pas si on est dans cette configuration, mais j’ai eu un début d’année très difficile et son roman m’a bouleversé au point que j’ai tourné la dernière page en larmes. Je finirai ma chronique en redonnant cette citation, même si c’est parfois plus facile à dire qu’à faire : « Il faut… tout pardonner… sinon… on ne vit pas. » et « La vie est comme une balançoire : quand elle te tire en arrière, tends les jambes vers l’avant ». Alors merci sincèrement et infiniment Aurélie pour cette leçon ! Promis je m’accroche et tends les jambes vers l’avant, vers l’avenir…

J’avais lu et dévoré son premier roman qui avait su me toucher en plein cœur : Peindre la pluie en couleurs. Mais elle m’avait prévenu que le style était complètement différent avec son second roman et c’est vrai, mais la sensibilité de l’auteure est bel et bien toujours aussi forte.
Nous rencontrons Alice, une jeune étudiante qui travaille dans un café pour payer ses études. Elle y est très appréciée et s’est liée d’amitié avec plusieurs clients, dont Elvire, une vieille dame un peu bigote mais adorable. Un jour où Alice est de sortie avec son chéri, elle croit apercevoir Elvire dans une boîte de nuit… Cela lui semble pour le moins étrange, mais étant un peu alcoolisée elle se dit qu’elle a sûrement dû rêver… Elle se décide toutefois à lui poser la question plusieurs jours après lorsqu’elle la recroise au café mais avant qu’elle n’ait pu lui dire quoique ce soit, Elvire est renversée par un scooter et meurt dans les bras d’Alice en lui confiant « Pardonne-lui ma chérie, il ne sait pas… ce qu’il fait... Il est comme ça… Les autres non plus, Aurore… Il faut… tout pardonner… sinon… on ne vit pas…On… » A compter de ce jour, Alice voit sa vie lui échapper… Elle n’arrive pas à surmonter le chagrin que lui provoque cette disparition et, persuadée qu’il ne s’agit pas d’un accident, commence à enquêter… Mais cela devient obsédant, au point que ses études et son chéri sont relégués au second plan… Les derniers mots d’Elvire lui semblent incompréhensibles, qui est donc cette Aurore ? Alice arrivera-t-elle à s’en remettre ? A retrouver un semblant de normalité dans sa vie ? Pourquoi un lien aussi fort s’était si facilement et naturellement créé entre elles ? Au fil des jours le mystère s’épaissit jusqu’au dénouement, inattendu et émouvant.
J’ai tellement apprécié retrouver la plume si sensible et si juste de cette auteure, je suis décidément sous le charme ! On dit souvent qu’il y a un bon moment pour chaque chose et pour les livres c’est pareil… Certains livres nous touchent particulièrement à une période donnée de notre vie et lorsqu’on le relit plus tard, on est parfois déçus… Ici je ne sais pas si on est dans cette configuration, mais j’ai eu un début d’année très difficile et son roman m’a bouleversé au point que j’ai tourné la dernière page en larmes. Je finirai ma chronique en redonnant cette citation, même si c’est parfois plus facile à dire qu’à faire : « Il faut… tout pardonner… sinon… on ne vit pas. » et « La vie est comme une balançoire : quand elle te tire en arrière, tends les jambes vers l’avant ». Alors merci sincèrement et infiniment Aurélie pour cette leçon ! Promis je m’accroche et tends les jambes vers l’avant, vers l’avenir…
