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Et avec votre esprit Poche – 4 mars 2021
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"Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène!"
C'est sur ces mots de son assassin que, en pleine fac de Strasbourg, un Prix Nobel de chimie se voit férocement massacré et dépouillé - littéralement - de son cerveau. Quatre jours plus tard, dans la région lyonnaise, un célèbre physicien disparaît des radars.
Pour le lieutenant Vairne, pro du poker et obsédé de mathématiques, la probabilité qu'il s'agisse d'une coïncidence n'excède pas 15%.
Probabilité que le carnage continue? Sang pour sang...
- Nombre de pages de l'édition imprimée464 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPocket
- Date de publication4 mars 2021
- Dimensions11 x 2.1 x 17.9 cm
- ISBN-102266313908
- ISBN-13978-2266313902
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Journaliste au Point et animateur télé et radio, Alexis Laipsker est également l'une des figures les plus reconnues du poker aux yeux des spécialistes comme des téléspectateurs. Il incarne le renouveau du poker moderne en France, dont il a orchestré la popularisation notamment par l'écriture de livres et la présentation d'émissions spécialisées sur M6 et NRJ12.
Fort de son expérience de fin observateur des expressions corporelles des joueurs, de sa maîtrise du bluff et des techniques de manipulation, il s'est lancé dans le polar avec Et avec votre esprit, premier thriller machiavélique lauréat du Prix Nouvelles Voix du Polar 2021. Son deuxième roman, Le Mangeur d'âmes, a paru chez Michel Lafon en 2021.
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Détails sur le produit
- Éditeur : Pocket (4 mars 2021)
- Langue : Français
- Poche : 464 pages
- ISBN-10 : 2266313908
- ISBN-13 : 978-2266313902
- Poids de l'article : 200 g
- Dimensions : 11 x 2.1 x 17.9 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 2,026 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 36 en Crime et enquête
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

Alexis Laipsker est l'un des plus grands spécialistes du poker en France. Il a commenté de nombreux tournois pour la télévision et a animé La Maison du Bluff sur NRJ12.
Il s'est lancé avec succès dans l'écriture de thrillers. Son premier roman ...Et avec votre esprit a remporté le Prix des Nouvelles Voix du Polar ce qui en fait le "Meilleur polar français" de 2021.
Avec Le mangeur d'âmes, il confirme son rôle de nouvel auteur majeur de la littérature policière.
Son dernier roman, Les Poupées, fait l'unanimité.
Commentaires client
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Commenté en France le 19 juillet 2020
Meilleures évaluations de France
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Dès le premier chapitre, l'auteur donne le ton sur une histoire originale et pertinente. Une plume fluide et dynamique rythme une aventure savamment orchestrée. Une belle intrigue se profile au fils des pages, parsemée de rebondissements creusant l'intérêt de la lecture, faisant de ce fait un véritable page turner.
L'auteur sait captiver l'attention du lecteur, on reste dans le flou jusqu'au dénouement final.
Quelques notes d'humour sont parsemées au cour de l'histoire amenant un sentiment de légèreté bienvenue.
Les personnages principaux sont recherchés et atypiques, chacun a son savoir-faire, son expérience et.... sa personnalité avec ses qualités et ses défauts faisant la force de ce polar.
J'espère que vous passerez comme moi un agréable moment de lecture.
Bonne lecture.
Je connais le gars comme auteur de livres de poker et j'apprécie ses chroniques et analyses mais de là à être un bon romancier, il y a un pas à franchir et j'étais septique.
Probabilité qu'Alexis rédige un bon thriller : 40%.
Ensuite, j'ai lu le pitch : + 15%.
Le titre ( ... et avec votre esprit) m'a attiré et le fait que l'action se déroule dans le monde scientifique : + 6%
Le fait d'être publié par un éditeur : +5%
Enfin, une jolie couverture, un nombre de pages conséquents pour un prix correct : 0% mais le sentiment qu'une erreur ne me coûterait pas beaucoup.
Donc 66% soit KK vs AK, on n'hésite pas.
Résultat : je suis enchanté de cette lecture. C'est un excellent roman. Au départ, je trouvais qu'il y avait du Dan Brown dans cette ouvrage mais finalement, j'y vois la ligne claire de Hergé (c'est ma belgitude qui réapparaît).
En effet, c'est un plaisir de terminer chaque chapitre avec l'envie d'attaquer le suivant tout comme Hergé soignait la dernière case de chaque planche.
Dans cette même idée, la dernière phrase est absolument géniale.
J'ai beaucoup apprécié les quelques références au poker ainsi que le mode de réflexion du héros (statistiques, tells).
Bref, je vous recommande chaleureusement cette lecture.
Oh ! ce n'est pas qu'il soit mauvais, je l'ai même lu avec un certain plaisir, mais franchement, ce n'est pas la révélation de l'année, et certains aspects sont même plutôt affligeants.
Parlons de l'intrigue… Elle est prenante, c'est indéniable. En outre, la technique de faire évoluer deux enquêtes en parallèle, qu'on sent proches, qui finiront par se recouper sans toutefois se rencontrer tout à fait, entretient un suspense certain, d'autant plus aigu que chaque chapitre (ou presque) termine en forme de cliffhanger, dont la clé nous est donnée parfois dès le chapitre suivant, mais d'autres fois seulement après un chapitre consacrée à l'autre enquête !
Mais voilà : on va de fausse piste en espoir de résolution, d'avancée possible en cul-de sac, et ainsi de suite pendant plus de 75% du livre, sans qu'aucun indice sur la révélation finale ne soit jamais déposé – ou alors j'ai été particulièrement aveugle. Et paf, d'un seul coup, dans le dernier quart du livre donc, tout nous est révélé, encore à petites doses certes, comme si l'auteur avait eu un dernier sursaut de souci à ménager le lecteur. Mais en tout cas, c'est la façon d'écrire un polar qui m'horripile particulièrement, et depuis toujours : le lecteur est mené par le bout du nez dans un noir total, et puis tout est dévoilé en fin de livre façon grand coup de théâtre ! Ici, en plus, sans vouloir divulgâcher, le coup de théâtre est certes plausible (mais quand même très « gros »), mais prend tout à coup une tournure politique un peu tirée par les cheveux, qui a achevé de ne pas me convaincre.
Et pour combler le tout, la chute d'une de ces deux enquêtes parallèles m'a semblé bien bâclée, comme si l'auteur en avait tout à coup assez de ce personnage principal là, et clôture donc les choses vite fait, sans finesse, un peu en eau de boudin : dommage.
Toutefois, j'aurais peut-être pu mieux accrocher… s'il n'y avait pas eu les personnages ! Ceux-ci sont incroyablement clichés, sans apporter rien de nouveau au genre Policier. Commençons par la première à apparaître : Cannelle Pourson, la commissaire provinciale (mais d'une ville importante, elle est à Strasbourg quand même), carriériste au point d'avoir sacrifié son mariage (et bien un peu ses enfants), oscillant sans cesse entre un certain autoritarisme et un vague souci de bienveillance et de vrai leadership envers ses hommes, ok on a compris la musique… On passe alors à Simon Vairne, membre de la DGSI à Paris, bon flic à la limite du brillant même, mais caractérisé par son indiscipline récurrente, irrévérencieux face à sa hiérarchie, dont il parle d'une façon qui n'est pas sans rappeler les blagues potaches d'étudiants en train de faire la fête, mouais… Il a certes la particularité d'être un ancien joueur de poker professionnel, et de voir le monde à travers une certaine déformation des sens et des perceptions qu'il avait développée dans cette ancienne occupation, mais ça ne suffit pas à le rendre réellement attachant. Enfin, on reprend sur la sérénade de la provincialité, et là on arrive à Aix, le bout du monde pour Paris donc, et on tombe sur la pugnace Marion Mastereaux, représentée comme l'archétype de la féminité, trop belle pour être flic, et qui a tellement dû se montrer ferme et fermée dans le monde très machiste de sa profession, qu'elle en est devenue détestée par tous ses coéquipiers, malgré le fait qu'elle aussi est –évidemment !- présentée comme un bon flic…
Bref, l'image de la femme flic qui doit s'imposer en sacrifiant sa famille et/ou sa féminité, tombant dans les travers masculinistes les plus obtus, ou le bon flic mais rebelle ayant encore un pied dans l'adulescence, c'est du vu et revu, c'est un cliché éculé sans saveur. Mais le pire, c'est qu'aucun d'eux n'a de réelle profondeur : on reste en permanence dans le superficiel, sans creuser un seul instant. Il y a bien quelques tentatives quand on évoque ici ou là les enfants de Cannelle, à qui elle tient malgré le fait qu'elle les a plus ou moins abandonnés à son ex-mari ; et on entend que Simon et Marion se font des confidences, évoquant (mais tellement brièvement, et sans aucun développement) l'enfance difficile de Simon par exemple, mais ça en reste là… Oh ! je ne dis pas que je voulais une analyse psychanalytique et l'histoire personnelle de chaque personnage avant de démarrer, mais de là à n'avoir que quelques vagues évocations, c'est frustrant. De plus, il n'y a aucune finesse psychologique dans l'analyse de leur évolution, qu'elle soit professionnelle ou personnelle, ou dans les relations des uns avec les autres, si ce n'est tout au plus un vague et très prévisible « ennemies to lovers ».
Enfin, l'écriture est sans doute l'aspect le plus convaincant. Elle est rythmée, c'est indéniable, et comme je disais plus haut : le jeu des fins de chapitre en forme de cliffhanger donne envie de poursuivre … en espérant toujours une révélation, un vrai indice qui ferait avancer les choses. Or, même si cela n'arrive presque jamais, ou alors de façon qui permet tellement peu d'avancer que ça ne sert à rien, on n'a pas le temps d'être déçu car ça s'emballe malgré tout, et on suit.
C'est aussi une écriture très visuelle, qui pêche parfois par des excès… comme si l'auteur avait voulu montrer à tout prix « qu'il sait », ou comme s'il s'adressait à des néophytes en matière de polar. Certains passages, marqués par exemple par une surabondance de détails dans la description d'une scène de crime, m'ont fait lever les yeux au ciel – je ne vais pas les énumérer ici, ça rendrait mon commentaire inutilement long, mais j'en ai surligné au moins l'un ou l'autre dans mon « bloc-notes »…
Mais donc oui : c'est une écriture visuelle, façon grand spectacle même parfois, et je conçois que ça puisse plaire – même si, dans mon cas, ça a été plutôt l'inverse, car ça semble au détriment d'une analyse plus fine des personnages, ou d'une enquête moins tarabiscotée à laquelle le lecteur aurait eu l'impression de pouvoir prendre part, ce qui n'est donc pas le cas ici, et ça m'a manqué !
Ensuite les personnages policiers: la commissaire de police est une caricature et on ne voit pas bien pourquoi elle est éliminée.
Puis les lieutenants dans le style cow-boy: sur des affaires aussi sensibles, ils ne sont pas épaulés par des plus hauts gradés et ne font quasi pas de reporting.
La seule originalité du roman, c'est le fonctionnement mental de Vairne ex pro du poker.
Et comme personnages émergeant, c'est tout et c'est pauvre.
Pour conclure: trop d'invraisemblances nuisent au récit
Aujourd'hui en France, A. Laipsker, jeune fifty, s'est révélé être dès son coup d'essai, un sérieux candidat pour titiller ces habitués US du Bestselling... A suivre sans modération. Janluk.

Commenté en France le 19 juillet 2020
Aujourd'hui en France, A. Laipsker, jeune fifty, s'est révélé être dès son coup d'essai, un sérieux candidat pour titiller ces habitués US du Bestselling... A suivre sans modération. Janluk.

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