Vincent Billerot

OK
À propos de Vincent Billerot
De formation plus scientifique que littéraire, Vincent Billerot a toujours remis à plus tard son regard sur la santé et la maladie en générale.
Kinésithérapeute de formation et exerçant dans un hôpital parisien, il côtoie la maladie au quotidien.
La sienne d'abord.
Souffrant d'un trouble de la personnalité évitante, une pathologie qui le pousse malgré lui à s'isoler du monde.
Celle des autres ensuite, il décrit ainsi la difficulté de soigner les autres sans pour autant savoir se soigner soi-même.
Son premier roman "tu nous remercieras plus tard" aborde avec auto-dérision, humour et tragédie les miracles qu'il accomplit chaque jour et qui ont fait sa renommée internationale.
N'hésitez pas à prendre rendez-vous avec son livre mais n'oubliez pas que toute guérison sera considérée comme définitive...
https://labelettestephanoise.home.blog/2019/12/23/tu-nous-remercieras-plus-tard/
https://www.sophiesonge.com/2021/05/Si-maman-si-Vincent-Billerot-Editions-Librinova.html
Les clients ont aussi acheté des articles de
Êtes-vous un auteur ?
Mises à jour de l'auteur
Livres de Vincent Billerot
Avec une tendre dérision, l’auteur nous dessine un portrait émouvant de sa mère et de lui-même. Mère et fils pourront-ils surmonter leurs difficultés propres pour enfin se (re)trouver ?
Laissez-vous emporter dans cette échappée pleine de tendresse et de nostalgie, un récit à cœur ouvert où chacun peut se reconnaître.
C’est la réflexion que je me faisais alors que je rampais au bout de moi-même sur le carrelage glacé de ma salle de bains.
Vous me connaissez tous. Sur les forums, on me surnomme « l’homme aux mille miracles ».
Vous pensez me connaître grâce à la vie de milliardaire débauché que je mène.
Grâce à toutes les guérisons inexpliquées qui jalonnent ma route. Peut-être m’avez-vous écrit, plein d’espoir, afin que je m’occupe de vous ?
Seulement j’ai mon lot de douleurs et de souffrances comme tout le monde.
J’ai deux parents comme vous tous. C’est eux que je remercierai plus tard. Ils font un peu partie de ce lot.
Mais pas que.
Je souffre d’un syndrome d’évitement. Une maladie psychiatrique assez rare où l’on choisit d’être seul par une peur terrible d’être rejeté par l’autre.
Une maladie qui me pousse à m’isoler du monde. À éviter toujours. Coûte que coûte.À m’éviter.
Alors lorsque je regardais mon visage hagard dans le miroir embué, j’ai réalisé que sauver les autres ne me sauvait pas pour autant.
Pour me sauver, il me fallait écrire ce livre.