Catherine vient de basculer dans un abîme de tristesse. Sa fille est morte dans un tragique accident, laissant à sa mère pour seuls souvenirs vivants les nombreuses toiles qu’elle peignait.
Alors que Catherine tente de faire son deuil, une lettre est déposée devant sa porte. L’auteur anonyme comprend son affliction et souhaite lui confier un fardeau lourd à porter. Pas à quelqu’un d’autre. À elle.
Qui est l’auteur de cette lettre ? Que veut-il lui révéler ?

À ce moment, elle sait qu’un lointain passé va ressurgir des abysses. Il est désormais trop tard. L’engrenage est lancé et seule la vérité saura arrêter la course du mécanisme.

Une lettre. Voici ce que vient de recevoir Joan. Il lit les mots. Il pleure. Sa mère vient d’annoncer son suicide.
C’est à lui que revient la lourde tâche de prévenir le reste de sa famille. Mais un prénom le fait bouillir intérieurement. Pauline.
Il se souvient de ses quinze ans. Du jour où elle est partie sans jamais revenir. Dix ans sans aucune nouvelle de sa propre sœur.
Sans le savoir, Joan s’apprête à replonger dans son adolescence et à extraire des secrets enterrés six pieds sous terre.

Quelles sont les raisons qui ont poussé sa mère à se donner la mort ? Pourquoi sa sœur l’a-t-elle abandonné dix ans auparavant ?

Une chose est sûre, Joan retiendra toute sa vie l’année de ses vingt-cinq ans.

Des vacances inoubliables. Dans tous les sens du terme.

Un groupe d’amis décident, pendant leur séjour, de se rendre dans une réserve naturelle à l’aube afin d’admirer le lever du soleil.
À part le réveil matinal douloureux, nos quatre amis sont parés pour prendre de superbes photos de l’événement. Mais le trajet en vélo pour s’y rendre, de surcroît enveloppé par la nuit et une forêt effrayante, n’a pas rassuré l’un d’entre eux. Mauvais pressentiment.
Une fois que vous êtes à l’intérieur, vous n’avez plus la possibilité de vous échapper, paralysé par les démons qui vous observent. Les arbres et les buissons vous empêchent toute évasion, mais ce n’est pas eux que vous devez craindre.
Tendez votre oreille. Plus près. Concentrez-vous. Faites le silence et écoutez. Vous venez de discerner les murmures des ombres.

Priez pour que la sortie de ce dédale boisé ne se transforme pas en un piège mortel aux dents aiguisées par vos terreurs les plus sombres.

N’abandonne jamais. 360. Deux nouvelles qui vous feront perdre toute foi en l’être humain. La noirceur de l’âme démembrée en deux histoires différentes dans l’approche, mais aux similitudes déconcertantes.
Veillez à ce qu’elles ne vous fassent pas chuter dans les limbes inconnus de votre cerveau. Les ficelles s’emmêlent. Les hypothèses s’effacent. Toute l’histoire redémarre de zéro.
Non, ne vous tirez pas les cheveux, regardez derrière vous, mais jamais trop loin.
Votre tête pourrait exploser, ou pire, se tordre jusqu’à 360 degrés.

Alice se réveille sur un sol dur et totalement emmurée. La pièce ne dépasse pas 10 m². La folie et la peur la domptent rapidement. La seule issue semble être la chatière incrustée dans la porte de sa prison. Elle doit se maîtriser pour survivre au cœur de l’ombre. Le temps est compté.
Par-delà la forêt, progressant derrière les arbres, il arrive pour assouvir sa vengeance.
Tic-tac. L’horloge tourne. Le couteau frétille dans la paume de sa main. Le vent projette ses derniers soufflements. Un cri résonne au clair de lune.

Alice n’en a peut-être plus pour très longtemps.