Sylvie De Laforêt

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À propos de Sylvie De Laforêt
Originaire des Hautes-Alpes, je vis depuis quelques années en haut d'une montagne. Passionnée de peinture et de lecture, je jongle au quotidien avec mon métier de barmaid et ma vie de famille.
Depuis 2018, je suis auteure en New romance (toujours avec des fins heureuses et de la rigolade).
Mon univers et mes protagonistes sont loin, très loin des héros que l'on retrouve dans les romans d'aujourd'hui. Je suis heureuse d'avoir donné du charisme à un éleveur de chèvres ou à un pêcheur en mer. Selon moi, l'amour ne se cache pas derrière une liasse de billets, une rutilante voiture de sport ou un beau gosse tatoué.
Non, ce serait beaucoup trop facile...
Le challenge de mes écrits est de vous faire fantasmer sur monsieur tout le monde. Celui que vous croisez tous les jours au supermarché, à la boulangerie ou au garage ... Bonne lecture ! Sylvie.
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Mises à jour de l'auteur
Livres de Sylvie De Laforêt
Blasée par leurs disputes incessantes et par ce métier qu’elle n’aime plus, elle décide de tourner la page.
Seulement, avant de quitter l’entreprise, elle doit s’affranchir d’un dernier dossier : l’expulsion de Doumé Luciani.
Un jeune homme corse au sex-appeal redoutable...
Extrait du livre (1) :
Epuisée, je m’appuie contre le coffre et commence à pleurer, quand, au loin, j’entends le moteur approchant d'un véhicule.
Malgré la neige persistante et mes yeux embués, je discerne derrière quelques arbustes deux feux lumineux qui s'approchent.
Je suis sauvée.
Le 4x4, car c'en est un, s’arrête à quelques mètres de moi. Une silhouette imposante en sort, en claquant puissamment la portière. Je suis si soulagée de voir un être humain.
Mince, et si c'était un tueur en série ? Un sérial killeur qui sévit sur les routes de montagne enneigées, les soirs de Noël ?
Houlà... N'angoisse pas, Léna. Garde ton self-control légendaire.
De toute façon, mon corps est totalement gelé, cela m'étonnerait beaucoup qu'il arrive à me tronçonner.
Allez couper une tranche de gigot qui sort tout juste du congélateur. IMPOSSIBLE ! On est bien d'accord ?
Extrait du livre (2) :
Ozan me dévore des yeux comme un loup affamé devant un appétissant agneau.
Je sors de mes rêveries nostalgiques pour plonger dans son regard brûlant.
Cet homme est beau.
— Comment va ta culotte ? demande-t-il en prenant
une gorgée de vin.
— Je n'ai pas de culotte… précisé-je tout naturellement en léchant ma petite cuillère.
— Ah oui ?
Bon, c'est absolument faux, j'ai une culotte.
— C'est une invitation à la vérification ?
— Je suppose…
Ozan se lève brusquement de table, tandis que je le regarde, amusée.
— Alors, soit... vérification !
L’éleveur m'attrape et me jette sur son épaule, comme un vulgaire sac de pommes de terre. Ma petite cuillère tombe, en rebondissant sur le sol.
Nerveusement, je me chope un fou rire.
Avec mes poings, j’essaye de me libérer, mais rien n’y fait, il est si costaud que j'ai l'impression de frapper inutilement contre un mur.
Arrivé au salon, Ozan me jette sur le canapé...
Installée dans la galerie de Québec, elle peaufine sa vengeance contre Martin.
Son plan est simple : détruire sa carrière d’agent artistique.
Seule et désespérée dans ce nouveau pays, elle fait la connaissance de Gilbert, un chauffeur de taxi pittoresque qui va lui redonner le sourire.
Cependant, l’exposition au Portugal approche à grand pas, Martin devient de plus en plus oppressant et Ozan lui manque terriblement…
Sous le soleil de Lisbonne, Léna sera-t-elle assez forte pour contrecarrer la manipulation du collectionneur d’art ? Ou devra-t-elle s’attendre à pire ?
Une chose est sûre, Ozan n’est pas très loin et il n’a pas dit son dernier mot…
Extrait :
— Décidément, John Gray avait raison, les hommes viennent bien de Mars et les femmes de Vénus. Nous ne nous comprenons pas, Léna. Quand je disais que je vous voulais entièrement, je ne parlais pas d’argent, même si ce sujet ne me laisse pas insensible.
— Vous voulez baiser avec moi ?
— Ne soyez pas vulgaire… Je suis un homme bien éduqué. Avec vous, je ne parle pas de baise, mais de partages sexuels consentants. Voilà donc notre terrain d’entente, pour que je puisse oublier votre mec.
Mon cœur bat à mille à l’heure, les poignets toujours bloqués par mon tortionnaire, celui-ci s’en amuse.
— Votre pouls palpite… cette injonction vous excite… je suis certain que votre petite culotte mouille pour moi, murmure-t-il au creux de mon oreille.