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Nombre de pages de l'édition imprimée

288 pages
Langue

Français
Éditeur

POINTS
Date de publication

22 janvier 2009
Dimensions

10.9 x 1.8 x 17.8 cm
ISBN-10

2757809830
ISBN-13

978-2757809839
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Description du produit

Biographie de l'auteur

Né en 1964 en région parisienne, Philippe Jaenada publie son premier roman Le Chameau sauvage, prix de Flore, qui rencontre un grand succès et est adapté à l'écran, par Luc Pagès, sous le titre A + Pollux. Philippe Jaenada est également l'auteur des Brutes, disponible en Points.

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Détails sur le produit

Éditeur ‏ : ‎ POINTS (22 janvier 2009)
Langue ‏ : ‎ Français
Poche ‏ : ‎ 288 pages
ISBN-10 ‏ : ‎ 2757809830
ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2757809839
Poids de l'article ‏ : ‎ 200 g
Dimensions ‏ : ‎ 10.9 x 1.8 x 17.8 cm

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Commentaires client :
23 évaluations

À propos de l'auteur

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Philippe Jaenada

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Philippe Jaenada a grandi à Saint-Germain-en-Laye, puis est arrivé à Paris au milieu des années 1980 où il enchaîne les petits boulots pendant plusieurs années. Sa première nouvelle est publiée en 1990 dans L'Autre Journal. Les sept premiers romans de Philippe Jaenada sont d'inspiration autobiographique. Outre ses livres, il écrit pour le magazine Voici.

Commentaires client

5 étoiles		57%
4 étoiles		14%
3 étoiles		14%
2 étoiles		6%
1 étoile		9%

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Meilleures évaluations de France

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Ce livre repousse les frontières invisibles du conformisme

Commenté en France le 1 décembre 2017

Cela fait longtemps que je n’ai pas le temps de lire ( CAD que je n’aie pas envie).
Peut être rien depuis « Sulak », qui m’avait tétanisé, mais je n’avais pas retenu le nom de l’auteur, mais Sulak m’a tellement saisie. Rendre si vivant ce mort. Rendre justice ( je pèse mes mots) à ce robin des bois, c’était fabuleux.Et puis j’ai decouvert « la SERPE », sans commentaire ( je n’ais pas HET celui ci sur amazon) la encore une moment de grâce littéraire. J’enchaîne sur la petite femelle .
Je me décide à piocher dans les premiers livres de P Jaenada. Et je tombe sur Nerfertiti. Oh la la je n’ai pas les mots pour décrire mon plaisir à lire ce livre si atypique! Juste une chose soit on Adore soit on déteste...
Mais quelle générosité...
C’est une histoire d’amour, peut être atypique mais pas tant que cela, a bien réfléchir, beaucoup pourront s’identifier aux personnages. En tout cas j’en fais partie, et ça fait chaud au cœur de se dire qu’il existe des TItus, ce livre repousse les frontières de la conformité, merci Olive, merci TItus...

8 personnes ont trouvé cela utile

RAEL.ORG

Un humour décapant

Commenté en France le 6 février 2014

Passé des vulgarités dont je ne suis vraiment pas fan (mais c'est une question de goût), ce roman est l'un des meilleurs de Jaenada (enfin, selon mes goûts !!!) les personnages sont attachants et il y a des scènes comiques d'anthologie, il fait partie des livres rares qui me font éclater de rire à haute voix, et ce à chaque fois que je le lis.
Ce n'est pas rien quand même !

11 personnes ont trouvé cela utile

charlotte84

Bof !

Commenté en France le 20 novembre 2014

Je n'aime pas du tout ce type de littérature facile, qui n'a que l'originalité d'un vocabulaire sans recherche. Peut être est ce ça la nouvelle littérature, mais elle ne tire pas les lecteurs vers le haut. Je me suis ennuyée et n'ai pas fini le livre.

2 personnes ont trouvé cela utile

tarondor

un bon Jaenada

Commenté en France le 11 novembre 2015

Livraison rapide. État comme neuf.
Par le contenu ça ressemble a du San Antonio. Très détendant a lire, on se prend a rire bien souvent...

2 personnes ont trouvé cela utile

Sans la mise en place d'un confinement des plus stricte, finir se livre aurait été inenvisageable.

C.Volland

Commenté en France le 26 avril 2020

Titus Colas est un anti-héro qui travail dans la pub. Il a eut une enfance difficile. Lorsqu'il rencontre Olive, une écorchée vive elle aussi, il n'a qu'une idée en tête la séduire.

La première impression qui vient à la lecture est que Philippe Jaenada prend un grand plaisir à écrire. Plaisir non partagé malheureusement.
Chattes, bittes, couilles, poiles, le chant lexical nous convie à rester au stade anal.Méprisé, laissé de côté, parent pauvre, le lecteur est spectateur d'une logorrhée qui se veut tellement passionnante qu'elle ne nécessite ni chapitres, ni retours à la lignes et si peu de paragraphe. Qu'on se le dise ! Aucun cadres, aucune structure fascisante, non rien ne doit tarir le flot incontinent des mots qui seras de toute façon lu d'une traite tellement c'est bon. C'est du moins se que Philippe doit penser (oui, on se tutoie avec Philippe car on partage cette même incapacité à écrire un roman)
Sans la mise en place d'un confinement des plus stricte et la fermeture des librairies et bibliothèques, finir se livre aurait été inenvisageable.

Une personne a trouvé cela utile

Vraiment trop torride à mon goût !

bonnardisa

Commenté en France le 11 novembre 2017

J'avais entendu cet auteur interviewé à la radio et j'ai eu envie de lire quelque chose de lui. J'ai choisi ce livre un peu au hasard, m'attendant à une intrigue policière. En fait, je ne l'ai pas terminé car, s'il y a effectivement meurtre, le roman commence par la rencontre amoureuse des deux protagonistes, tous les deux très portés sur le sexe. J'ai dû lire une quarantaine de pages décrivant avec moult détails leurs ébats amoureux. Quand j'ai été suffisamment documentée sur les pratiques de la sodomie et que j'ai fini par me lasser de voir écrit "bite" ou "chatte" toutes les 4 phrases, j'ai refermé le bouquin.
Ceci étant, c'est remarquablement bien écrit et il n'est pas dit que je ne refasse pas une autre tentative sur cet auteur. Souhaitez moi bonne chance !

3 personnes ont trouvé cela utile

RAEL.ORG

Brillant

Commenté en France le 15 février 2014

Il y a des romans qui vous donnent l'impression d'avoir croisé un être vivant. Ce roman est de cette trempe. C'est plus qu'une lecture, c'est un chemin qu'on fait avec les personnages.
Lorsque je l'ai lu il y a dix ans, j'avais été surtout sensible à l'humour de Jaenada, mais en le relisant cette année, j'ai été émue par la profondeur des personnages. A travers Olive, Jaenada touche à la condition de la femme, sa place dans la société, sa sexualité avec une vulgarité et une finesse mêlée digne des grands auteurs.

Pour moi c'est un très grand livre

4 personnes ont trouvé cela utile

Philippe Jaenada, j'adore!

D. Roux

Commenté en France le 13 août 2004

Une histoire de coup de foudre, de cul et de lapins (oui, oui, de lapins!), pleine d'humour et de fantaisie, mais c'est vrai que j'avais préféré "le chameau sauvage".
Extrait :
"Je m'appelle Titus Colas. On m'a prénommé Titus parce que mon père voulait Franck, ma mère Loïc, et que le hamster de ma soeur s'appelait Bérénice. Comme mes parents allaient se taper dessus dans la chambre de la maternité (ma mère était ivre morte, ce qui décuplait ses forces) et que l'administration s'énervait, on s'est souvenu du facteur, un homme très cultivé qui disait tous les matins :
- C'est mignon pour un hamster, Bérénice. Si vous avez un mâle un jour, il faudra l'appeler Titus.
Voilà comment je suis devenu le mâle du hamster de ma soeur (j'aime m'imaginer sortant tout petit, congestionné et visqueux des entrailles de ma mère, considéré par mon entourage comme un hamster, à tort)."

9 personnes ont trouvé cela utile