Jean Sévillia

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À propos de Jean Sévillia
Journaliste, essayiste et historien, Jean Sévillia est chroniqueur au Figaro Magazine et membre du conseil scientifique du Figaro Histoire. il a publié de nombreux succès de librairie, notamment Zita impératrice courage (Perrin, 1997), Le terrorisme intellectuel (Perrin, 2000), Historiquement correct (Perrin, 2003), Historiquement incorrect (Fayard, 2011), Histoire passionnée de la France (Perrin, 2013, nouvelle édition en 2019), Les vérités cachées de la guerre d'Algérie (Fayard, 2018) et a dirigé le livre collectif L'Eglise en procès (Tallandier, 2019).
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Livres de Jean Sévillia
La guerre d'Algérie, par-delà le bien et le mal.
Plus d'un demi-siècle après l'indépendance de l'Algérie, est-il possible de raconter, sans manichéisme et sans œillères, un conflit au terme duquel un territoire ayant vécu cent trente ans sous le drapeau français est devenu un Etat souverain ? De la Toussaint sanglante à la fusillade de la rue d'Isly en passant par la manifestation du 17 octobre 1961, Jean Sévillia relit tous les grands épisodes de cette révolution. Il compare les chiffres, démasque la propagande, replace la cruauté du conflit dans celle de l'époque. Car ce livre raconte cette histoire telle qu'elle fut : celle d'une déchirure dramatique où aucun camp n'a eu le monopole de l'innocence ou de la culpabilité et où Français et Algériens ont tous perdu quelque chose, même s'ils l'ignorent ou le nient toujours.
Le destin poignant d'une femme dont la vie force l'admiration et le respect.
Zita de Bourbon-Parme (1892-1989) a tout connu du XXe siècle : les fastes de l'Empire austro-hongrois, l'accession au trône en pleine guerre de 1914, la fin de l'empire, l'exil, la ruine de l'Europe, avant le retour triomphal dans une Autriche enfin apaisée. La biographie magistrale d'une femme d'exception.
L'histoire de la France cartographiée, de la préhistoire à nos jours, et racontée par Jean Sévillia.
En cinq parties - "Les origines", "Le royaume de France", "La nation française", "Les temps modernes" et "La France aujourd'hui" - et plus de 100 cartes inédites et richement détaillées, de celle des principaux sites préhistoriques au planisphère de la francophonie actuelle, cet ouvrage novateur donne à voir, véritablement, une autre histoire de France, vivante, presque charnelle. La bataille d'Alésia, Le partage de Verdun, la France des monastères de l'an 1000 au XIIe siècle, l'art roman ou gothique, les croisades, la France de François Ier, les princiaux monuments de la Renaissance, les résidences de Louis XIV, la frontière fortifiée de Vauban, les Lumières, les minorités religieuses aux XVIIe et XVIIIe siècles, les guerres de Vendée, la France du Premier Empire, la révolution de 1830, la construction du réseau ferré au XIXe, l'alphabétisation, l'urbanisation et les langues régionales en 1900, la Grande Guerre, ses victimes, les élections législatives de 1936, celles de 1946 - après la France occupée et la libération du territoire national -, l'Algérie française, la décolonisation, les élections présidentielles de la Ve République, le réseau autoroutier, les étapes de la construction européenne, la délinquance et les violences urbaines, les familles monoparentales, les interventions militaires récentes ou encore les gilets jaunes : autant du sujets et autant de cartes, parmi beaucoup d'autres, que commente Jean Sévillia avec maestria et concision. Conjuguant plaisir de lecture et érudition, cette première
Histoire inédite de la France en 100 cartes - beau livre relié cartonné, en couleurs -
permet surtout de comprendre l'évolution de notre pays, d'en comprendre les faiblesses et d'en apprécier les formidables richesses.
La France, dit-on, est le pays de la liberté. Dans le domaine des idées, cela reste à démontrer. Car sur la scène politique, culturelle et médiatique, tout se passe comme si un petit milieu détenait la vérité. En 1950, les élites exaltaient Staline. En 1960, elles assuraient que la décolonisation apporterait le bonheur outre-mer. En 1965, elles s'enflammaient pour Mao ou Fidel Castro. En 1968, elles rêvaient d'abolir toute contrainte sociale. En 1975, elles saluaient la victoire du communisme en Indochine. En 1981, elles croyaient quitter la nuit pour la lumière. En 1985, elles proclamaient que la France devait accueillir les déshérités de la terre entière. Dans les années 1990, ces mêmes élites affirmaient que le temps des nations, des familles et des religions était terminé. Pendant cinquante ans, les esprits réfractaires à ce discours ont été discrédités, et les faits qui contredisaient l'idéologie dominante ont été passés sous silence. C'est cela, le terrorisme intellectuel. Pratiquant l'amalgame, le procès d'intention et la chasse aux sorcières, cette mécanique totalitaire fait obstacle à tout vrai débat sur les questions qui engagent l'avenir.
Journaliste, Jean Sévillia est rédacteur en chef adjoint auFigaro Magazine.Il a déjà publié chez PerrinLe Chouan du Tyrol, Andréas contre Napoléon(1991)etZita, impératrice courage(1997, 40 000 exemplaires).Historiquement correctparu en 2003 a connu un très grand succès de librairie (80 000 exemplaires), de même que la première édition de ceTerrorisme intellectuel(près de 50 000 exemplaires).
Le règne fulgurant et tragique de l'Archiduc Charles qui tenta de sortir son pays de la Première Guerre mondiale, de le démocratiser politiquement et qui au milieu des épreuves et de l'exil sut conserver intacte sa foi en l'homme et en Dieu.
Vienne, 1916 : l'empereur François-Joseph meurt après soixante-huit ans de règne. Son successeur est son petit-neveu, titré Charles Ier en Autriche et Charles IV en Hongrie. Âgé de 29 ans, accédant au trône en pleine guerre, le nouveau souverain possède un programme : la paix, les réformes, notamment sociales. En 1918, la guerre est perdue, la Double Monarchie se disloque et Charles Ier doit quitter le pouvoir. Réfugiée en Suisse, la famille impériale est ensuite reléguée à Madère. Sans ressources, elle y fait l'épreuve du dénuement. Le 1er avril 1922, le dernier empereur meurt de maladie, à l'âge de 34 ans. L'impératrice Zita, sa femme, attend alors son huitième enfant.
Esprit généreux et sincère, béatifié par Jean-Paul II en 2004, Charles d'Autriche sut, au milieu des épreuves et de l'exil, conserver intacte sa foi en l'homme et en Dieu.
Jean Sévillia a publié chez Perrin des essais remarqués : Le terrorisme intellectuel, Historiquement correct, Moralement correct, et Zita, impératrice courage.
Presse:
" Il faut se précipiter sur ce livre, plus de 300 pages exaltantes et traversées d'élans du cœur qui nous emportent au-delà des mots. "
Jean Raspail, Le Figaro Magazine
" Cette biographie magistrale de Jean Sévillia restaure avec bonheur l'image et les mérites d'un homme fidèle jusqu'à sa mort (en 1922, âgé de 34 ans) à sa foi, à sa famille, à ses peuples (autrichien, hongrois, croate, ruthène, tchèque, etc.). Son courage politique durant la guerre devait être salué, le chemin de croix que furent son exil et sa maladie, rappelé. C'est fait, et bien fait. "
Le Figaro Magazine, 11 Février 12
L'historiquement correct, c'est le politiquement correct appliqué à l'histoire. Pour le dénoncer, Jean Sévillia entreprend de relire l'histoire dans son contexte et non, comme on le fait généralement, selon la grille des valeurs contemporaines.
Depuis sa première édition, il y a plus de dix ans, le succès d'
Historiquement correct ne s'est jamais démenti. Loué pour son indépendance d'esprit, plébiscité par le grand public, Jean Sévillia reprend un à un les noeuds gordiens de notre histoire pour remettre les pendules à l'heure en évitant les détournements idéologiques qui foisonnent lorsqu'on lit le passé à l'aune du présent.
En découle un récit souvent novateur et toujours limpide servi par une plume d'envergure.
" La démonstration de Sévillia est d'une grande salubrité. "
Philippe Tesson, Le Figaro Littéraire
" Ce démontage de la vulgate postmarxiste est souvent salutaire, et parfois réjouissant. "
François Dufay, Le Point
" Il est aujourd'hui peu d'ouvrages d'utilité plus grande et d'usage plus pressant que celui de Jean Sévillia. "
Alain Besançon de l'Institut, Le Figaro
Les bouleversements survenus dans les années 1960-1980 ont profondément modifié les mentalités. Les principes de la morale traditionnelle ont laissé la place au "moralement correct", les valeurs communes aux intérêts individuels. Se pose alors la question : peut-on encore vivre ensemble ?
Tous les Français, naguère, étaient élevés selon des valeurs identiques. Il existait une France de gauche et une France de droite, une France laïque et une France chrétienne, mais la morale de l'instituteur ressemblait à celle du curé.
A partir des années 1970, sous l'effet d'une double révolution - celle de la société et celle des idées -, chacun a pris l'habitude de définir ses propres critères du bien et du mal. Le résultat, aujourd'hui, c'est que les règles collectives s'effacent, ouvrant la porte à une société éclatée, où le seul guide est l'intérêt personnel. Une tendance encouragée par le moralement correct qui prêche le principe de plaisir, le droit à la différence, le devoir de tolérance, la transgression des traditions, la relativité des conventions.
Mais peut-on vivre sans valeurs partagées ? Pour sortir de la crise qui se manifeste des banlieues à l'école, de l'Etat à la famille, du travail à la culture, il faudra bien réinventer des codes communs.
Jean Sévillia est l'auteur de biographies et d'essais historiques plébiscités par les lecteurs : Zita impératrice courage, Le Terrorisme intellectuel, Historiquement correct, Quand les catholiques étaient hors la loi.
"Règne du tout-à-l'égo, déclin de la famille, glorification de la technique, déliquescence de la foi : en un demi-siècle, la société française a changé de visage. Jean Sévillia [..] est un des rares essayistes français à analyser le phénomène en profondeur, à le mettre en perspective historique et politique et à tenter de le dépasser."
Le Figaro Magazine
"Enfin un sociologue au chevet de la société !"
La Manche Libre
Autant de questions explosives en forme de réquisitoire dans un procès couramment fait à l’Église catholique. Les réponses données ici par quinze historiens visent d’abord à remettre en contexte chaque question dans son époque, avec le souci d’éviter tout anachronisme. Sans jamais remplacer la légende noire par une légende dorée, cette fresque alerte et passionnante redonne sa place à une investigation historique sans préjugés ni œillères.
La tragédie du pouvoir au féminin.
Comment sont mortes les souveraines les plus célèbres de l'Histoire ? Du suicide de Cléopâtre au dramatique accident d'Astrid de Belgique en passant par la décapitation de Marie Stuart et de Marie-Antoinette, l'assassinat d'Agrippine, de Sissi et d'Alexandra de Russie, ou l'agonie édifiante de Catherine de Médicis, Anne d'Autriche, Catherine II, la reine Victoria ou l'impératrice Eugénie, les meilleurs historiens et écrivains d'histoire racontent leurs derniers jours dans des textes incisifs où la limpidité du récit s'appuie sur des enquêtes puisées aux meilleures sources.
Toujours tragiques, souvent brutales, parfois spectaculaires, inattendues ou interminables, leurs fins se ressemblent par une même dignité, une civilité monarchique de l'adieu exaltée par la conscience que ces reines avaient de leur rang, et leur volonté commune d'édifier la postérité après avoir marqué leur temps. Comme si toutes se retrouvaient dans la fière devise de Marie Stuart : " En ma fin est mon commencement. "
" Une fresque du pouvoir suprême au féminin, de l'Antiquité au XXe siècle " : c'est ainsi que Jean-Christophe Buisson et Jean Sévillia définissent cet ouvrage collectif de prestige qu'ils ont dirigé et qui fera date, autant par ses qualités littéraires que par le regard innovant qu'il porte sur les ultimes instants de ces femmes dont les règnes ont changé le monde à tout jamais.
La face cachée de la loi de 1905
La face cachée de la loi de 1905 De 1901 à 1904, 30 000 moines ou sœurs furent contraints à l'exil, 14 000 écoles catholiques fermées et les officiers pratiquants, privés d'avancement. La séparation des Eglises et de l'Etat n'a pas apaisé les querelles, elle les a mises sous un éteignoir laïc. Réflexe si ancré chez les Français qu'il resurgit aujourd'hui.
Mais alors que l'irruption de l'islam a relancé le débat sur la laïcité, de nouvelles questions se posent. Croit-on faciliter l'intégration des musulmans en niant le fait religieux ? Pour assurer la cohésion de notre société, ne vaudrait-il pas mieux nous interroger sur ce que nous avons fait de nos valeurs chrétiennes ?
Auteur de biographies à succès, Jean Sévillia a publié deux précédents essais plébiscités par les lecteurs : Le Terrorisme intellectuel et Historiquement correct.
Après l'immense succès de l'Histoire passionnée de la Franceen 2013, voici une édition de prestige actualisée, pour une offre unique de fin d'année.
Conjuguant la profondeur de l'historien et l'esprit de synthèse du journaliste, Jean Sévillia nous raconte avec talent et passion la grande Histoire de la France, des origines à aujourd'hui.
À l'heure où certains semblent avoir honte de notre passé, il fait le choix d'insister sur ce qui nous honore et ce qui nous unit, même dans les pages difficiles de notre Histoire, afin de souligner le caractère exceptionnel de notre pays, si riche en événements et en figures de proue – convoquant Clovis, Charlemagne, Saint Louis, Jeanne d'Arc, Henri IV, Richelieu, Louis XIV, Napoléon, Charles de Gaulle et jusqu'à nos présidents de la République.
Oscillant de crises en révolutions, la France a toujours su surmonter ses divisions pour se réinventer et inspirer le monde, que ce soit par ses idées et ses sources – les racines chrétiennes, l'humanisme de la Renaissance, les Lumières, les intellectuels du XXe siècle – ou par ses modèles politiques successifs : la monarchie forte, l'Empire, les républiques parlementaire puis présidentielle.
La richesse et la beauté des nombreuses illustrations forment l'écrin de ce grand récit, personnel, vivant et exhaustif, accessible à tous et qui comble une lacune.
Le plaisir d'apprendre en élevant l'esprit insuffle la conviction de la permanence d'un destin français, et, partant, les raisons d'espérer.
" Jean Sévillia se livre ici à un formidable exercice de synthèse, qui est aussi un chant d'amour à notre pays en même temps qu'un plaidoyer pour l'unité française. " Michel De Jaeghere,Le Figaro Histoire
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