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La Guerre à l'est Poche – 17 octobre 2002
August von Kageneck (Auteur) Trouver tous les livres, en savoir plus sur l'auteur. Voir résultats de recherche pour cet auteur |
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La chronique d'un régiment allemand d'infanterie sur un front qui, en quatre ans, a englouti 85% des effectifs de toute l'armée allemande.
De la Seconde Guerre mondiale, la phase la plus longue, la plus meurtrière, la plus éprouvante fut la guerre germano-russe. Quatre-vingt-cinq pour cent des soldats allemands tués ou disparus entre 1939 et 1945 l'ont été sur le front de l'Est. Outre les éléments naturels qu'ils n'étaient pas préparés à affronter -des températures allant jusqu'à moins 50°, la neige, la boue-, les soldats du Reich se sont heurtés à partir de la fin 1942 à des effectifs plus nombreux et de mieux en mieux équipés. Pour restituer ce qu'ils ont vécu, August von Kageneck raconte l'histoire significative d'une unité, le 18e régiment d'infanterie-grenadiers, d'un bout à l'autre du conflit. Ainsi suit-on la guerre au plus près des officiers et soldats, dans le quotidien du combat ou de l'attente, quand la crainte de la mort ou de la capture, la discipline, la camaraderie, l'amour-propre expliquent le dépassement de soi. L'auteur, qui a lui-même connu le front de l'Est et dont un frère a trouvé la mort au sein de ce régiment, nous plonge dans une réalité humaine qu'une histoire globale de cette guerre ne peut traduire avec tant de vérité et de précision.
August von Kageneck, né en 1922 en Rhénanie, a revêtu l'uniforme d'avril 1939 à mai 1945. Installé en France comme correspondant de la radio gouvernementale allemande et de Die Welt, il est l'auteur, chez Perrin, de plusieurs livres à succès sur la Seconde Guerre mondiale : Lieutenant de Panzers, Examen de conscience, Erbo, pilote de chasse et De la croix de fer à la potence, Roland von Hoesslin un officier allemand résistant à Hitler.
- Nombre de pages de l'édition imprimée208 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurPerrin
- Date de publication17 octobre 2002
- Dimensions11 x 1.6 x 17.8 cm
- ISBN-102262019029
- ISBN-13978-2262019020
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Description de l'éditeur
La collection Tempus est une collection de livres de poche des éditions Perrin créée en 2002. Elle vise à faciliter l’accès du public à des ouvrages de référence en histoire, via des prix attractifs et un format pratique, tout en conservant la fabrication de qualité chère à la maison Perrin. En 2020, la collection compte près de 800 références, aussi bien en histoire de France qu’en histoire du monde. Plusieurs dizaines d’auteurs ont publié chez Tempus, parmi lesquels Colette Beaune, Pierre Branda, Jean des Cars, Thierry Lentz, Jean Lopez, Jean-Clément Martin, Jean-Christian Petitfils, Arnaud Teyssier, Bénédicte Vergez-Chaignon, Charles-Eloi Vial, Olivier Wieviorka ou encore Michel Winock.
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Description du produit
Biographie de l'auteur
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Détails sur le produit
- Éditeur : Perrin (17 octobre 2002)
- Langue : Français
- Poche : 208 pages
- ISBN-10 : 2262019029
- ISBN-13 : 978-2262019020
- Poids de l'article : 100 g
- Dimensions : 11 x 1.6 x 17.8 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 42,630 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 91 en Seconde Guerre mondiale
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- 273 en XXe siècle (Livres)
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Aucune référence aux métamphétamines dont on bourrait les soldats. la Pervitin côté allemand et la benzédrine côté anglo saxons, permettaient de supprimer la sensation de faim, de soif, de fatigue. le soldat pouvait ainsi combattre pendant plusieurs jours d'affilée...
Pas de distinguo entre les unités appartenant à l'armée elle même (la wehrmacht) et les unités spécifiquement nazies. De même pour le personnel comme le général Model, national socialiste convaincu.
Seul compte le côté frère d'arme, compagnon d'infortune.
Une phrase montre les limites de l'auteur :
"page 199 : l'éthique du soldat est de se battre dans l'honneur et les règles établies entre nations civilisées. Dans leur grande majorité, les soldats allemands se sont conduits conformément à cette éthique."
Jeter une famille de civils hors de sa maison afin de prendre sa place, alors qu'il fait moins 40 dehors, n'est pas très éthique, de même de mettre des coups de lance flammes dans des habitations de civils. sans compter d'autres exactions. Bon nombre de gens qu'il admire, comme Model, ont été catalogués criminels de guerre.
Par ailleurs, sa phrase est un coup de patte à Staline qui n'avait pas ratifié la convention de Genève relative aux prisonniers de guerre. Donc tous les coups ont été permis, y compris par l'Allemagne, nation civilisée, qui, elle, avait ratifié cette convention.
Les unités allemandes (Wehrmacht + nazies) n'ont pas été éthiques. l'armée rouge non plus. pour une raison fort simple : la guerre ne peut être éthique. elle est forcément sale.
Un bon livre mais qu'il faudra compléter par d'autres études pour avoir une vision plus juste des choses.
Rédigé sans haine, l'auteur nous fait partager non pas des convictions politiques ou idéologique mais tout simplement son sens du devoir. Il était dans l'armée, devait se battre et être avec ses camarades.
Il fait peu de cas des "fusillades" de civils (Einzatsgruppen dont il n'avait jamais entendu parler) ce qui est plutôt surprenant et affirme que son peloton n'avait jamais exécuté de commissaires politiques (surprenant aussi tant la directive l'ordonnant avait été suivie massivement)
L'auteur nous délivre un récit sur l'horreur de la guerre et la solidarité des soldats
Ces derniers temps Lopez a remis les pendules à l'heure : les officiers, sous-officiers et soldats allemands savaient pertinemment bien quelles étaient les activités des Sonderkommandos en Biélorussie, Ukraine et Russie.
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