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![A Conjuring of Light (A Darker Shade of Magic) (English Edition) par [V.E. Schwab]](https://m.media-amazon.com/images/I/51VPbL4GCXL._SY346_.jpg)
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A Conjuring of Light (A Darker Shade of Magic) (English Edition) Format Kindle
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- LangueAnglais
- ÉditeurTitan Books
- Date de publication21 février 2017
- Taille du fichier1920 KB
Description du produit
Revue de presse
"A Darker Shade of Magic is smart, funny and sexy ... and Schwab keeps the excitement coming with roller-coaster plot twists that establish her as, perhaps, the natural successor to Diana Wynne Jones's contemporary fantasy crown." --The Independent (UK)
Now that the series is complete, we can wholeheartedly say that the books are some of the best fantasy fiction of the decade. --Starburst Magazine --Ce texte fait référence à l'édition kindle_edition.
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- ASIN : B01N9Q9PJA
- Éditeur : Titan Books (21 février 2017)
- Langue : Anglais
- Taille du fichier : 1920 KB
- Synthèse vocale : Activée
- Lecteur d’écran : Pris en charge
- Confort de lecture : Activé
- X-Ray : Activé
- Word Wise : Activé
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 642 pages
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 114,907 en Boutique Kindle (Voir les 100 premiers en Boutique Kindle)
- 3,858 en Fantasy dans Ebook en anglais
- 5,384 en SF et fantasy en langues étrangères
- 14,127 en Fantasy (Livres)
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

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L'auteur semble avoir catalogué tous les défauts des précédents tomes afin de les amplifier. Les chapitres, raccourcis, ne sont souvent composés que de quelques paragraphes, soit à peine une ou deux pages : l'auteur évite coûte que coûte la description, expédie certaines scènes en quelques lignes, si elle ne les évince pas tout simplement. Un exemple parmi des dizaines d'autres : un certain personnage propose à Lila de le "rejoindre" - jamais leur relation, leurs points communs n'auront été développés. Ainsi sont évacuées et progression des personnages (je pense à Kell et son amnésie, résolue en une demi-page) et ambiance, au profit de punchlines. Le but n'est plus, en effet, de construire une scène mémorable par son style, son atmosphère, mais de terminer sur la Bonne Phrase À Suspense. Parfois, c'est l'action même qui est coupée nette, l'auteur ne reprenant qu'après coup.
À cela s'ajoute un recyclage pénible de certaines tournures - "something was wrong", "he felt in his gut" et autres pressentiments - qui vous enjoignent à rester attentifs : si, si, quelque chose d'important va se produire. Jamais les personnages ne sont vraiment surpris, leur instinct les alerte de la fourberie d'un tiers, de la quiétude suspecte d'un lieu. C'en est épuisant, surtout lorsque l'auteur nous introduit un personnage avec pour unique trait ce don de prémonition. De même, Holland vit toujours la même interaction à travers le livre, à savoir être menacé de mort par les héros - Holland, étrangement, s'en sort toujours avec le bon mot qui pousse l'autre partie à la remise en question...
La narration reste dilapidée entre trente-six millions de personnages dont on a un peu rien à faire. Ils n'apportent pas grand-chose non plus, si ce n'est colmater le gruyère de l'intrigue. Ce problème de structure date du premier tome -- l'auteur semble convaincue qu'elle doit dévoiler prématurément les pensées et plans des antagonistes afin d'intéresser son lecteur, et comme elle refuse tout autant d'écrire des scènes complètes, de véritables conversations, intercaler un chapitre de trois pages du point de vue d'un personnage secondaire est son seul moyen de caractériser ledit personnage. Il a fallu attendre ce tome pour commencer à comprendre ce qui se tramait dans la tête des deux souverains : surprise ! ils ont tous deux droit à des chapitres consacrés, bien que marqués par un certain... traitement de faveur pour le roi. J'y reviendrai.
Tout comme dans AGOS, l'intrigue décidée par l'auteur tient en otages les personnages, les forçant à l'attente ou à la stupidité, si ce n'est les deux conjuguées. Son manque de perspective mène à la pure absurdité : assiégés, les personnages ne se concertent pourtant pas, vont à la rencontre du danger, résultant en leur mort - héroïque et idiote - ou l'obtention d'une belle brique de deuil ajoutée à l'édifice de leur passé tragique. Ceci ne concerne que les personnages masculins. J'y reviendrai.
Un coup de théâtre me reste notamment en travers de la gorge : sans m'étendre, il repose sur des subtilités politiques de Red London. La politique a été ignorée durant les trois tomes. Ce retournement de situation en devient insultant car inexplicable, indevinable. De plus - et surtout ! - il contredit la caractérisation d'un certain personnage féminin, qui fait les frais de ce retournement. "Contredire" paraît présomptueux et pourtant ce n'est la seule occasion où l'auteur semble "oublier" la personnalité des femmes... mais laissons ça, j'y reviendrai.
Je reste de marbre devant les antagonistes qui frôlent tous la caricature - un pseudo-dieu voulant régner sur le monde, une femme cupide, un frère bizarrement intolérant, des nobles ennuyés. Et si j'appréciais Holland, l'évident favoritisme dont il fait l'objet au cours de ce tome m'induit de l'aversion. Monsieur a droit à des flashbacks - police différente et élégants symboles de transition, s'il-vous-plaît - qui détaillent à l'envi son horrible, sa triste histoire emplie de trahisons et d'amitiés avortées. J'en ai la larme à l'oeil. Pire encore : par son jeu de punchlines, l'auteur transforme chaque confrontation entre Holland et les autres personnages en victoire morale du premier. Tous sont contraints à l'introspection. Lila, en particulier, qui a toutes les raisons de lui vouer une haine éternelle, mais qui, par un habile - ah ! - jeu de stupidité de la part de l'auteur, est gravement blessée afin que Holland puisse prouver qu'il est nuancé et sympathique. Je n'invente rien.
Passons au coeur du problème, celui qui transforme trois romans médiocres en une tirade nauséabonde : la misogynie assumée de l'auteur dans ce tome. Soyons clairs : ce tome est une boucherie. Une boucherie de corps féminins. Déjà, dans les tomes précédents, l'auteur hésitait, en introduisait peu, qu'elle balayait très vite, préférait se concentrer sur les hommes (et Lila, misogyne elle-même) : ici, elle en introduit des dizaines... pour les massacrer aussitôt. Le seul intérêt de la femme est d'attrister l'homme : une demi-douzaine de petites filles sont égorgées afin d'émouvoir un frère, un proche, un étranger même ; compagnes et amantes sont tuées ; les mères, toujours absentes ou en échec, meurent en saintes.
Schwab enchaîne stéréotype sur stéréotype, qu'elle ne déconstruit jamais : les femmes sont faibles, frivoles, entichées de leur propre servitude, piégées par leur corps féminin, obnubilée par leurs enfants, étrangères au pouvoir et à la guerre ; les femmes sont des mères (mortes donc) ou des vampires, poussées par la cupidité, le pouvoir. Je tairai leur nom pour ne rien dévoiler ; cependant, ce tome compte six cent pages, où une à une femmes et filles sont assassinées des manières les plus répugnantes et pour des raisons les plus superflues.
Les femmes, aussi, ne méritent pas qu'on prête attention à elle. Ainsi, dans un monde qui ne prêche pourtant pas le sexisme, les femmes n'existent pas : les personnages secondaires importants sont des hommes, les personnages à qui l'on attribue des chapitres sont des hommes, les personnages dont la psyché est développée sont des hommes, les figurants dans les foules sont des hommes. J'évoquais Maxim et Emira : l'un est décemment développé ; l'autre caractérisée uniquement par les larmes, l'échec, la peur, le tout tournant autour de la maternité. Emira, que j'apprécie beaucoup, n'existe que pour la caricature, n'ayant jamais eu de vie propre, de progression, n'étant que la mère terriblement inquiète, la mère pleurant, la mère faillant, et ce, à en croire l'auteur, pour plus de vingt-cinq ans. Emira révèle la vacuité du monde et des relations créées par l'auteur : reine et pourtant isolée, reine et pourtant sans pouvoir, sans loisir, sans autre pensée - sans autre vie - que son fils, épouse fidèle qui réconforte son mari mais qui n'est jamais écoutée en retour. Emira, malheureuse dans son mariage, glace le sang : le seul rôle accordé à une femme est celui, non reconnu, du sacrifice.
Lila qui ne survivait qu'en rejetant sa nature féminine, en devenant l'un des hommes ("I am not most girls" est une vraie réplique d'AGOS), n'est plus que l'ombre d'elle-même : la jeune femme ambitieuse, imprudente, puissante, démesurée s'est évanouie lorsque la romance a pointé son nez. Dans un tome où un être se prétend divin, où la tentation paraîtrait un thème essentiel, les démons et fantasmes de Lila se sont volatilisés.
L'ultime affrontement en dit long : le cadavre d'une femme, possédé, est mis en pièce pour le plus grand bien.
Pour conclure, A Conjuring Of Light est un livre pénible, où chaque bonne idée semble jetée à la poubelle au profit du convenu et de l'ellipse. De part le mépris dont l'auteur fait preuve envers les personnages féminins, je ne peux que recommander de passer son chemin. La série n'a que les jolies couvertures pour elle.
On se retrouve immédiatement embarqué dans une succession de chapitres qui prennent vraiment aux tripes (accrochez-vous à votre culotte !). J’ai fait l’erreur de commencer le livre a 22h, et je n’ai pu le lâcher qu’une fois un chapitre plus calme atteint… minuit passé !
Après cette première longue partie d’action/tension non stop qui met en place les différents dangers et enjeux auxquels vont faire face nos héros, on entre dans une deuxième partie -légèrement- plus calme orientée davantage aventure, et où l’on va également alterner entre les différents protagonistes, principaux ou non, et en apprendre davantage sur eux, sur leurs motivations, leur personnalité, les raisons derrières leurs comportements et leurs réactions,… Et c’est en grande partie pourquoi ce roman est aussi intense et prenant… L’auteure réussit en effet à nous rendre suffisamment proche et familier des différents personnages, bons ou mauvais, à suffisamment développer leur backstory, pour que peut importe ce qu’il leur arrive au cours du récit, on soit profondément touché et affecté, pour que l’on ressente tous ces sentiments de manière très forte. Et ce pour quasiment. Tous. Les. personnages ! Elle est même parvenue à me faire complètement changer d’avis concernant certains d’entre-eux ! Bonjour le syndrome de Stockholm.
L’intrigue, les personnages, la fin du roman,… Tout est absolument parfait du début à la fin, y compris les moments durs et tristes, tout est parfaitement dosé et distillé à un rythme idéal, et on est partagé entre l’envie de finir cette saga, de savoir comment tout se termine, et l’envie que ça ne s’arrête jamais…
En conclusion de cette trilogie, et je n’ai qu’une chose à vous dire : lisez-là ! Ça faisait longtemps que je n’avais pas été autant pris par un roman, son intrigue et ses personnages, et je n’ai qu’une hâte : découvrir ce que nous réserve le film. Car oui, si cette trilogie devait à la base être adaptée en série télé, Sony vient tout juste d’annoncer avoir acheté les droits pour l’adapter au cinéma ! L’auteure a de son côté annoncé que cette suite de romans ne constituaient dans sa tête qu’un arc, et que l’on pouvait espérer voir revenir ces univers dans une potentielle suite…
The characters are going through a lot but we can only admire them and it seems like a long way from book 1 !
That was probably one of my favorite 2018 book !
Ps : Très bon état malgré l’achat d’occasion, complètement satisfaite !
Je ne vous le recommande pas, je vous le mets de force entre les mains ! ;)
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

Sometimes it felt drawn out.
Some characters were introduced just for 1 chapter. I really thought the little girl visiting Ojka would play a role later, we learned so much about her background just to be never seen again. Instead, we never learn Kell's origin, I was waiting for this since book 1. Also, Lila's background story, how did she lose her eye? The only good background story we get is Holland's.
And then the killing spree...It feels like the author wanted to get rid of a lot of characters in the last 20% of the book, to concentrate on the mains or to make the plot sadder?
Still, I don't regret reading them and I wish I'd have a coat with ever changing sides.

I review every book I read, so I had to write this review. But honestly - and I don't say this very often - I'd probably advise you to ignore my three star review and focus on all the four and five star ones.
I really don't know what it is about me and this series. It's objectively pretty well written and well plotted, and subjectively, it's got a lot of the elements I like in my fiction. But somehow, the characters and the stories never really get into my heart and mind. It's a bit like going on a date with someone who's a lovely person and perfect for you on paper, and having a perfectly nice evening but not feeling any real spark of attraction.
Book two came close to tipping me over the edge into actually loving the series, mostly due to the more narrowly focussed plot and the brilliant addition to the cast of Alucard. But here, the energy seemed to drain away again.
This time around, my favourite element was the reintroduction of and getting to learn about his lifestory and see his human side. At times, when he was on the page or when there was a particularly interesting plot development or dramatic or romantic scene, it almost ensnared me. Then it'd lose me again.
Even with my fairly mixed feelings, I'm suggesting this is worth a read. And nearly everyone else's view is that it's a must read. So definitely pick up a coffee. Just if you're anything like me, be prepared for slight disappointment.

I love the world Schwab has built. The piratey parts of A Gathering of Shadows, part two in the series, were so vivid for me, as were the busy, bustling Night Market scenes during the magical tournament, which reminded a lot of the feel of the Quidditch World Cup in Harry Potter and the Goblet of Fire. I guess it is extra magical as multiple world have been built. There is Red London, Grey London, Black London, and White London, each with their different feels. Kell is one of the last travellers or Antari, a type of magic person who can travel between these worlds.
A Conjuring of Light gives us Red London, directly after the magical fighting tournament it has hosted, under siege from an evil magical force, Osaron, with the royal palace at the centre of all the how-do-we-defeat-Osaron planning. The palace is packed with various visiting members of royalty, noblemen and tournament magicians with Prince Rhy, his brother Kell, Lila (who is also an Antari, it turns out), Alucard, Alucard's cat, the King, the Queen, all strategising ways to save the people of Red London and defeat the evil magic.
Schwab is just an incredible crafter of scenes, each chapter with its own arc, and not very long chapters too, keeping the pace up and giving us various different points of view. You really should just read this if you haven't yet. Also if you haven't read any of the trilogy yet, please forget all of the above so you are spoiler free!
Schwab had hinted that this isn't the end for this incredibly built world. I'm keeping my fingers crossed she brings us more of Lila and Kell. And Rhy and Alucard. I'd take an Alucard's cat story too.

The book features the fight for red London and resolves the relationship issues between Kell, Delilah, Rhy and Alucard. Along the way we learn more about each one of them and begin to understand some of the previous events in the story. We also watch the characters grow and change which is a delight especially as they begin to understand each other better. My particular favourite character has always been Delilah and I really enjoyed how the author slotted her narrative into the overall story without compromising her independence and free spirit. All of the characters are flawed but they all have the opportunity for redemption whether or not they take it.
The book is full of action and enhanced by some excellent banter between characters. It is a not a long book but i felt that the author made it all count.
If you are a fan of fantasy then this is an excellent series. It is original and full of humour. The worldbuilding works and the author makes her alternative reality very believable. An excellent read

And what a finale it was. A Conjuring of Light follows on from the intense ending of A Gathering of Shadows, never missing a beat. A darkness greater than ever before spreads from one world to another, with the power to destroy anything that does not bend under its influence. But there are still an impossible few unwilling to fall to their knees, and as unlikely as they are, together they might just have a chance to save their worlds.
There was so much action in this book, with some fight scenes that were beyond epic. But I often struggle to follow battle scenes, and besides, what I was really in it for was the characters. The rebellious prince and the runaway privateer. The red-haired magician and the magician who's will wasn't his own. And of course the thief turned pirate; the cross-dressing impossible girl. Kell and Lila I loved from the start and Rhy and Alucard I fell for in book 2, but there I was, nearing the end of an era, and I still felt I knew them better with every page. And although I never connected much with Holland, his story and development broke my heart.
I lived for every interaction between these five characters, whether it was the words never said between them or a literal punch in the face. Their dynamics were what made this book special beyond the first two in the series.
"What are we drinking to?" / "The living," said Rhy. / "The dead," said Alucard and Lila at the same time. / "We're being thorough," added Rhy.
There were times when it was not the characters, but the beauty of the writing in and of itself that made me tear up. Schwab wove small and seemingly insignificant strands in the first two books to help shape the third, and even echoed old lines, reinforcing their power, combined with new lines that were just as majestic.
"Love and loss," he said, "are like a ship and the sea. They rise together. The more we love, the more we have to lose. But the only way to avoid loss is to avoid love. And what a sad world that would be."
No series is without its flaws, but this is one that I will be keeping close to my heart.
Warnings: blood, death, violence, self-harm, sexual scenes
Diversity Note: genderfluid character and POC bisexual character (labels not specified in book)