Options d'achat
Prix Kindle : | EUR 8,99 |
TVA incluse |

Téléchargez l'application Kindle gratuite et commencez à lire des livres Kindle instantanément sur votre smartphone, tablette ou ordinateur - aucun appareil Kindle n'est requis. En savoir plus
Lisez instantanément sur votre navigateur avec Kindle Cloud Reader.
Utilisation de l'appareil photo de votre téléphone portable - scannez le code ci-dessous et téléchargez l'application Kindle.
Batman: Prey (Batman: Legends of the Dark Knight) (English Edition) Format Kindle
Doug Moench (Auteur) Trouver tous les livres, en savoir plus sur l'auteur. Voir résultats de recherche pour cet auteur |
Prix Amazon | Neuf à partir de | Occasion à partir de |
- Kindle et comiXology
8,99 € Lire sur n'importe quel appareil - Broché
à partir de 218,23 €
- LangueAnglais
- ÉditeurDC
- Date de publication27 novembre 2012
- Taille du fichier834654 KB
![]() |
Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- ASIN : B009TH2EK4
- Éditeur : DC (27 novembre 2012)
- Langue : Anglais
- Taille du fichier : 834654 KB
- Synthèse vocale : Non activée
- Confort de lecture : Non activé
- X-Ray : Non activée
- Word Wise : Non activé
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 254 pages
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 398,267 en Boutique Kindle (Voir les 100 premiers en Boutique Kindle)
- 1,664 en Superhero Comics & Graphic Novels
- 8,305 en Bandes dessinées en langues étrangères
- 13,403 en BD Heroïc fantasy
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

Découvrir d'autres livres de l'auteur, voir des auteurs similaires, lire des blogs d'auteurs et plus encore
Les clients ayant acheté cet article ont également acheté
Commentaires client
Les avis clients, y compris le nombre d’étoiles du produit, aident les clients à en savoir plus sur le produit et à décider s'il leur convient.
Pour calculer le nombre global d’étoiles et la ventilation en pourcentage par étoile, nous n'utilisons pas une simple moyenne. Au lieu de cela, notre système prend en compte des éléments tels que la date récente d'un commentaire et si l'auteur de l'avis a acheté l'article sur Amazon. Les avis sont également analysés pour vérifier leur fiabilité.
En savoir plus sur le fonctionnement des avis clients sur Amazon
Commenté en France le 8 septembre 2009
Meilleures évaluations de France
Un problème s'est produit lors du filtrage des commentaires. Veuillez réessayer ultérieurement.
C'est très bien écrit et mis en dessin. La deuxième histoire est plus sombre que la première autant dans d'histoire que dans les dessins.
Mon seul regret est la façon de retranscrire les pensées de Batman dans Prey qui est une calligraphie manuscrite dans une case sombre. Ça rend parfois celle-ci difficile à lire.
Il s'agit néanmoins d'un très bon ouvrage que je recommande à tous les BatFans car il apporte des éléments importants sur le chevalier noire et certains de ses ennemis.
La 2eme partie est franchement décevante il faut avouer que le dessinateur à baclé le boulot c'est franchement mauvais et il place des gags stupide La place de ce gars est chez Disney pas chez DC Comics le coup de couvercle dans la tronche au coin de la rue c'est bien... mais dans les dessin animés pas dans l'univers de Batman.
- Prey -
Les habitants de Gotham ne sont pas encore bien sûr que Batman soit plus qu'une légende urbaine. Toutefois les équipes de police commencent à le voir intervenir lors de certaines opérations. C'est ainsi que le sergent Max Cort assiste impuissant à l'intervention de Batman lors de l'appréhension d'un dealer. Cort perçoit l'existence comme une insulte et une menace pour la police de Gotham : il ridiculise les forces de l'ordre en les faisant apparaître comme inefficace. Les habitants de Gotham découvrent l'existence d'Hugo Strange, un psychologue qui dissèque les motivations de l'individu qui se cache sous la cagoule de Batman, pendant des émissions de télévision. Ses observations déstabilisent Bruce Wayne par leur pertinence et ce qu'elles sous-entendent sur ses motivations refoulées. Le maire de Gotham décide de charger James Gordon de constituer une équipe spéciale dédiée à la capture de Batman, Hugo Strange est engagé comme consultant. De son coté, Bruce Wayne travaille dans sa Batcave pour peaufiner un nouveau mode de déplacement. Catwoman continue de piocher parmi les bijoux des riches pour agrandir sa collection personnelle.
Après Crisis on infinite earths , les superhéros de l'univers partagé DC Comics redémarre à zéro. En 1986, Frank Miller et David Mazzucchelli proposent une nouvelle version des origines de Batman dans Year one . Le succès de cette histoire ouvre les yeux des éditeurs de DC qui se rendent compte qu'ils peuvent créer une série spécialement dédiée à raconter les exploits des premières années de Batman : "Legends of the Dark Knight". Cette série accueille des récits complets comprenant de 1 à 5 épisodes.
Doug Moench profite de l'occasion pour re-raconter la première apparition d'Hugo Strange, apparu pour la première fois dans le numéro 36 de "Detective Comics" en février 1940 ; il fut le premier criminel récurrent à se battre contre Batman.
Dès le début Moench tisse un récit qui présente plusieurs aspects de Batman : ses réelles difficultés face à une police qui ne lui fait pas confiance, les limites liées à sa volonté de ne sortir que la nuit, la relation fragile établie avec James Gordon, son rayon d'action limité, le doute s'insinuant dans son esprit du fait du portrait psychologique dressé par Hugo Strange (Batman n'est pas encore pétri de certitudes), la relation pas toujours efficace entre Alfred Pennyworth et lui, etc. Doug Moench intègre parfaitement au récit les conséquences du manque d'expérience de Batman.
La relecture d'Hugo Strange introduit une tension incroyable entre Bruce Wayne qui doute de lui, et Strange qui semble le manipuler à distance comme s'il lisait en lui comme dans une livre ouvert. Doug Moench dépeint, d'une manière magistrale, un individu plus intelligent et plus perspicace que Batman.
Ce récit doit également beaucoup aux illustrations. Paul Gulacy utilise un style très réaliste qui donne une incroyable densité à chaque scène. Ses dessins sont rehaussés par l'encrage de Terry Austin qui peaufine chaque case, en rajoutant de ci de là des précisions technologiques (le support du batsignal, par exemple). La densité des détails, les décors variés et réalistes, les décorations d'intérieur plausibles, tout concourt à apporter de la crédibilité à chaque action décrite et à immerger le lecteur dans les recoins de Gotham. Il est toujours possible de détecter l'influence de Steranko dans certaines postures des personnages, ou dans quelques ombrages.
Doug Moench et Paul Gulacy entraînent le lecteur dans un thriller intelligent qui mêle les éléments spécifiques des premières années d'existence de Batman, avec un criminel qui le bat sans recourir à la violence physique.
-
- Terror -
Dans un manoir au bord de l'océan, un homme déguisé en chauve-souris plante un poignard à l'emblème du même animal dans le coeur d'un vieil homme : Hugo Strange est de retour et il a préparé sa vengeance contre Batman. Au port de Gotham, Batman intervient à bord d'un bateau hight-tech à ses couleurs pour interrompre un trafic d'armes, avec un résultat un peu trop destructif à son goût. Il est appelé par James Gordon à se rendre sur les lieux du premier crime pour constater l'implication d'Hugo Strange. Pendant le même temps, des vols de bijoux se poursuivent dans les quartiers huppés de la ville, et la voleuse laisse toujours une trace de griffure. À l'asile d'Arkham, un nouveau psychiatre a été choisi pour s'occuper des résidents à vie, et de Jonathan Crane (Scarecrow) en particulier.
Pour la première histoire, "Prey", Doug Moench avait choisi un mode narratif très premier degré, pétri de sérieux, avec un Batman intense et faillible, sans être obsessionnel, encore dans une phase de tâtonnement pour déterminer les méthodes d'intervention les plus efficaces. Ici il introduit une note de second degré relayée par Paul Gulacy. Cela commende dès la première page avec la vision de ce manoir perché sur éperon rocheux qui évoque irrésistiblement les films d'horreur des années 1950 et même le Motel Bates de Psychose . Ce second degré visuel se retrouve dans le bateau en forme de chauve-souris de Batman, dans le déguisement d'opérette d'Hugo Strange pour pénétrer à Arkham, etc.
Et de fait, Doug Moench écrit un récit moins intense que "Prey". Hugo Strange n'a finalement pas de plan sophistiqué pour prouver sa supériorité intellectuelle sur celui qu'il soupçonne d'être Bruce Wayne. D'un coté, Moench refuse de refaire "Prey" en moins bien ; de l'autre il se repose sur les caractéristiques les plus basiques de Catwoman (Selina Kyle) et Scarecrow. Le lecteur n'a donc le droit qu'à une bonne histoire de Batman avec des criminels bien partis dans leur monde, une Catwoman avec un comportement légèrement déviant (sa fascination pour le mâle absolu qu'est Batman), un Alfred légèrement en retrait et James Gordon qui fait de la figuration intelligente. Cette ambivalence dans le scénario devient apparente dans la manière de dépeindre Jonathan Crane. D'un coté, les effets de son gaz et de ses produits hallucinogènes manquent d'originalité ; de l'autre Moench rappelle sa genèse, et détaille ses motivations et son profil psychologique au-delà d'un simple figurant. Mais dans ses motivations même, le lecteur retrouve une trace de dérision qui désamorce l'impact de la peur générée par le personnage.
Pour autant la combinaison entre Moench et Gulacy aboutit à un récit d'action et d'affrontements d'égo entre les personnages, dans des endroits plein de caractère. Comme à son habitude, Paul Gulacy apporte un soin remarquable à chaque décor pour le personnaliser. Il y a donc le manoir de la première scène dont chaque pièce est aménagée de manière différente, mais aussi les intérieurs des appartements visités par Catwoman, les murs en pierre d'Arkham, le pavage improbable de Crime Alley, etc.
Paul Gulacy apporte également sa vision artistique aux personnages. Il a choisi de donner un masque un peu rigide à Batman, certainement en relation avec les films Batman de Tim Burton. Sa Catwoman est à la fois pulpeuse et légèrement musculeuse, et elle porte son premier costume, celui avec la queue ridicule et les moustaches sur le masque. Sa mise en page est assez dense avec une moyenne de 6 à 7 cases par page. Même s'il accentue de temps à autre une particularité pour insérer un léger décalage ironique, il conserve son style très réaliste qui confère une grande force de conviction aux images, facilitant l'immersion pour le lecteur. L'encrage de Palmiotti est moins sec que celui de Terry Austin sur Prey. Il accentue légèrement les surfaces noires, sans perdre de détails.
"Terror" constitue une bonne histoire de Batman située dans ses premières années activités. Il est possible de la lire sans avoir lu "Prey". Doug Moench développe la psychologie des personnages au-delà des comics de superhéros traditionnels et le lecteur assiste à l'évolution de Bruce Wayne de plus en plus concentré sur son seul objectif de combattre le crime. Paul Gulacy est toujours aussi minutieux dans son réalisme, mais il se met également au diapason du scénario qui introduit une légère touche d'ironie. Le résultat est divertissant, avec un beau Btaman ténébreux, toujours susceptible de commettre des erreurs, et une belle Catwoman sous le charme de cet étranger cagoulé, sans en devenir une midinette pour autant.
L'homme chauve-souris, encore débutant et en proie au doute, est traqué à vue à la fois par la police et par les médias de Gotham.
Au milieu de ce fatras, le Capitaine James Gordon se retrouve dans une position délicate, où il est opposé à celui qu'il estime comme un puissant allié face au crime. Batman devra donc faire un choix qui l'amènera à une association jusqu'alors des plus insolites...
Superbe caractérisation des personnages, d'une justesse étonnante et nourrie de dialogues fort bien ciselés. L'intrigue de Doug Moench est admirablement menée et propose une réflexion comparative des plus intéressantes entre l'action de Batman et celle d'un justicier lambda.
Quid du dessin, me direz-vous ? Et bien, c'est le trop rare Paul Gulacy qui nous cajole les mirettes avec des silhouettes élégantes et un découpage fouillé, le tout bien entendu enrobé par l'inévitable Terry Austin. Là aussi, de l'excellent ouvrage !
Difficile à trouver dans la langue de Jean-Pierre Coffe, la VO vous tend chaleureusement les bras !

Commenté en France le 8 septembre 2009
L'homme chauve-souris, encore débutant et en proie au doute, est traqué à vue à la fois par la police et par les médias de Gotham.
Au milieu de ce fatras, le Capitaine James Gordon se retrouve dans une position délicate, où il est opposé à celui qu'il estime comme un puissant allié face au crime. Batman devra donc faire un choix qui l'amènera à une association jusqu'alors des plus insolites...
Superbe caractérisation des personnages, d'une justesse étonnante et nourrie de dialogues fort bien ciselés. L'intrigue de Doug Moench est admirablement menée et propose une réflexion comparative des plus intéressantes entre l'action de Batman et celle d'un justicier lambda.
Quid du dessin, me direz-vous ? Et bien, c'est le trop rare Paul Gulacy qui nous cajole les mirettes avec des silhouettes élégantes et un découpage fouillé, le tout bien entendu enrobé par l'inévitable Terry Austin. Là aussi, de l'excellent ouvrage !
Difficile à trouver dans la langue de Jean-Pierre Coffe, la VO vous tend chaleureusement les bras !

Meilleurs commentaires provenant d’autres pays


Essentially, "Batman: Prey" is set during Batman's first year, here we see the Dark Knight create the Bat-Mobile. Ultimately, the plot revolves around Hugo Strange, a psychiatrist hired by the Mayor of Gotham to unveil the identity of Batman--however, the reader will realize that this psychiatrist has an unhealthy love/hate for the Caped Crusader both wanting to kill and be him. Using his profession to mentally defeat Batman, will this sinister doctor succeed in his plot to unmask and potentially become the Caped Crusader? You'll have to purchase this dark and twisted graphic novel to find out!
"Batman: Terror" is weaker than the prequel "Prey", but can still be held in a high regard. Without giving spoilers, all I can really say is that Terror is a main theme and Dr. Jonathan Crane is involved. This story also provides a short origin story to the Scarecrow.
To conclude, the artwork is amazing, its bold colors and dark-theme truly add to the entire atmosphere of the novel, and I highly recommend it.


Scarecrow, cat women, Dr. Hugo Strange atacando o terror em Gotham
