
L'affaire Alaska Sanders
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La suite de Harry Quebert.
Avril 1999. Mount Pleasant, une paisible bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. Le corps d'une jeune femme, Alaska Sanders, est retrouvé au bord d'un lac. L'enquête est rapidement bouclée, la police obtenant les aveux du coupable et de son complice.
Onze ans plus tard, l'affaire rebondit. Le sergent Perry Gahalowood, de la police d'État du New Hampshire, persuadé d'avoir élucidé le crime à l'époque, reçoit une troublante lettre anonyme. Et s'il avait suivi une fausse piste ?
L'aide de son ami l'écrivain Marcus Goldman, qui vient de remporter un immense succès avec La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, inspiré de leur expérience commune, ne sera pas de trop pour découvrir la vérité.
L'auteur :
Joël Dicker est né en 1985 à Genève où il vit toujours. Ses romans, traduits dans le monde entier, ont passionné des millions de lecteurs.
Le narrateur :
Stéphane Varupenne a suivi des cours d'art dramatique avant de devenir sociétaire de la Comédie-Française en 2007. S'il évolue au sein de la Troupe sous la direction de metteurs en scène de renom, il se distingue également pour ses talents de musicien qu'il met à profit dans des orchestres (Orchestre de Paris, Opéra national de Paris...). On le retrouve aussi au cinéma ( Le Redoutable) et à la télévision (notamment dans la série "Paris" de Zabou Breitman).
- Durée17 heures et 22 minutes
- Date de sortie sur audible10 mars 2022
- LangueFrançais
- ASINB09RQ49T2V
- VersionVersion intégrale
- Type de programmeLivre audio
- Premier livre audio gratuit
- Catalogue de plus de 500 000 titres
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Détails sur le produit
Durée | 17 heures et 22 minutes |
---|---|
Auteur | Joël Dicker |
Narrateur | Stéphane Varupenne |
Date de publication sur Audible.fr | 10 mars 2022 |
Éditeur | Lizzie |
Type de programme | Livre audio |
Version | Version intégrale |
Langue | Français |
ASIN | B09RQ49T2V |
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Par Client d'Amazon le 14 mars 2022


Par lolo le 14 mars 2022

Merci M.Dicker
PS : à quand un retour du duo de choc avec l’affaire Robinson !???
Une nouvelle affaire pour les policiers Vance et Gahalowood se profile.
🐻 Ce nouveau roman se découpe en trois parties, les chapitres sont courts, ce qui permet une lecture rythmée et fluide.
Nous voyageons de la Floride au New Hampshire, de 2008 à 2010 en passant par 1999.
Joël Dicker a le chic pour faire planer le suspens par le biais d’une toute petite phrase qui va titiller le lecteur jusqu’au moment venu….
Il y a des flashbacks qui permettent de revivre les événements de manière plus intense que s’ils étaient racontés par un personnage.
🐻 Joël Dicker fait toujours en sorte que le lecteur soit spectateur de toutes les scènes même les plus intrigantes mais le suspense plane constamment et c’est ce qui fait le succès de ses romans à mon sens… Il m’est arrivé, à plusieurs reprises, de me dire « Ah ! Ça y est ! J’ai trouvé le coupable ! » mais systématiquement, mes soupçons sont vite contrés par un auteur qui a du nez pour anticiper les réactions du lecteur !
Mais les ficelles continueront-elles de séduire le public à long terme ?
Hé oui ! Je dois reconnaître que j’ai trouvé cette lecture plus longue que les précédentes et j’avais hâte de la terminer….
🐻 Une dernière petite chose m’intrigue : Joël Dicker finira-t-il un jour par nous confier la recette du gâteau à la banane de Tante Anita ? 🤔😋

Par Iris29 le 19 avril 2022
Une nouvelle affaire pour les policiers Vance et Gahalowood se profile.
🐻 Ce nouveau roman se découpe en trois parties, les chapitres sont courts, ce qui permet une lecture rythmée et fluide.
Nous voyageons de la Floride au New Hampshire, de 2008 à 2010 en passant par 1999.
Joël Dicker a le chic pour faire planer le suspens par le biais d’une toute petite phrase qui va titiller le lecteur jusqu’au moment venu….
Il y a des flashbacks qui permettent de revivre les événements de manière plus intense que s’ils étaient racontés par un personnage.
🐻 Joël Dicker fait toujours en sorte que le lecteur soit spectateur de toutes les scènes même les plus intrigantes mais le suspense plane constamment et c’est ce qui fait le succès de ses romans à mon sens… Il m’est arrivé, à plusieurs reprises, de me dire « Ah ! Ça y est ! J’ai trouvé le coupable ! » mais systématiquement, mes soupçons sont vite contrés par un auteur qui a du nez pour anticiper les réactions du lecteur !
Mais les ficelles continueront-elles de séduire le public à long terme ?
Hé oui ! Je dois reconnaître que j’ai trouvé cette lecture plus longue que les précédentes et j’avais hâte de la terminer….
🐻 Une dernière petite chose m’intrigue : Joël Dicker finira-t-il un jour par nous confier la recette du gâteau à la banane de Tante Anita ? 🤔😋

Mais avec Joël Dicker, rien n’est jamais aussi simple, et dans une mise en abyme machiavélique qui est devenue sa marque de fabrique, il nous entraîne de faux semblants en rebondissements, à travers un récit sans linéarité chronologique, utilisant la technique de narration en flash back pour nous perdre en fausses pistes et empiler les intrigues comme des poupées russes.
Perry Gahalowood et Marcus Goldman, qui s’étaient rencontrés 2 ans auparavant dans « la vérité sur l’affaire Harry Québert » vont se retrouver et leur enquête va faire douloureusement écho à celle du passé. Si on y ajoute les souvenirs des Goldman de Baltimore qui résonnent dans l’esprit de Marcus, on a du mal à faire la différence entre le vrai et le faux. On ne sait plus qui de Dicker ou de Goldman nous raconte cette histoire, comme si l’auteur, victime d’un dédoublement de la personnalité nous entraînait dans le labyrinthe de sa réalité dichotomique. Mais il est impossible de lâcher le livre quand on a mis le doigt dans l’engrenage vertigineux de cette enquête en forme de réparation, ou de reconstruction.
Quoi qu’il en soit, une fois de plus, le final n’est pas celui qu’on attendait, car l’auteur prend un malin plaisir à nous faire croire, et à plusieurs reprises, que l’enquête est résolue, avant de nous prouver qu’elle ne l’est pas vraiment, qu’il s’est trompé, que la solution n’est pas là où on l’attendait et de nous offrir une fin confondante.
Un roman magistral qui confirme s’il en était besoin de talent de Joël Dicker et son imagination sans limite, et qu’on peut certes aborder sans avoir lus les précédents, mais pourquoi se priverait-on du plaisir de ces lectures ?
Sinon il s’agit bien d’un Dicker avec une intrigue mêlant passé et présent, avec des pistes multiples qui n’aboutissent pas toutes et un rebondissement jusqu’à la dernière page.
Quelques longueurs quand même notamment avec le personnage de Marcus Goldman qui se cherche toujours ce qui en devient presque pénible surtout avec son incapacité à dire tout de suite la vérité aux femmes ce qui a chaque fois le met dans une situation difficile. D’ailleurs la première partie du livre est lente et parfois presque ennuyeuse mais heureusement la deuxième partie s’accélère et devient très prenante.
Ce qui est particulier c’est que cette fois il n’y a pas une victime mais des victimes qui toutes ont des faces sombres
En conclusion un bon roman mais quand même pas aussi prenant que L’affaire Quebert qui reste la référence absolue.
Dommage
Je n ai pas en le temps de le retourner
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

Un regret : alors qu’il s’agit du dernier épisode d’une trilogie, cette information ne figure nulle part et sans avoir lu au moins l’un des 2 premiers ouvrages, le lecteur est quelque peu perdu et peine quelquefois à suivre le fil de l’intrigue. Un bref résumé des romans précédents eut été utile…
Malheureusement, le plaisir de la lecture est gâché par le manque de professionnalisme de l’éditeur (Rosie Wolfe) et de son imprimeur (Floch) : plusieurs phrases sont estropiées et leur compréhension rendue difficile (p. ex. P. 283 “Je dois vous avouer pourquoi s lancé dans cette enquête” doit-il se lire “Je dois vous avouer pourquoi JE ME SUIs lancé dans cette enquête”?) et des dizaines de pages (probablement plus d’une centaine, voire 200) sont “ornées” de maculages. À 23€ l’exemplaire, l’acheteur est en droit d’attendre plus de soin, voire d’honnêteté, de l’éditeur!

La storia in sé ti prende e ti affascina e come sempre vuoi capire chi, cosa, come e perché, ma i continui rimandi a due dei romanzi di Dicker (Il libro dei Baltimore e Il caso Harry Quebert) per tenere insieme le fila del discorso che esulano dalla storia di Alaska, hanno a mio parere appesantito il romanzo. Sembravano annunci pubblicitari messi a bella posta per far comprare i suoi romanzi. Non credo sia voluto, quelle descrizioni e quelle storie sono in parte utili a far conoscere il personaggio di Marcus Goldman ma per certi versi mi hanno infastidita.


